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Le laboratoire Architecture et Fonction des Macromolécules Biologiques, AFMB, est un centre de biologie structurale. Les thématiques des équipes de recherche sont : Complexes Macromoléculaires Viraux ; Désordre Structural et Reconnaissance Moléculaire ; Glycobiologie et Neurobiologie Structurales ; Glycogénomique ; Interactions hôte-pathogène ; Réplicases Virales : Structure Mécanisme et Drug-Design. L'objectif de ces recherches est d'acquérir une connaissance détaillée de la structure à l’échelle moléculaire et de la fonction des protéines ou assemblages macromoléculaires en se basant sur des approches pluridisciplinaires (bioinformatique, génie génétique, biochimie, biophysique, chimie et biologie structurale). L’AFMB a développé trois plateformes technologiques labellisées IBiSA (Bioinformatique CAZy, Biologie Structurale, Plateforme de Criblage Marseille-Luminy), une collection de ressources biologiques (Biobanque de produits dérivés viraux) et un service pour la production d’anticorps à domaine unique (Sélection et production de VHH/nanobodies de camélidés).  +
l''''Institut Amélioration Génétique et Adaptation des Plantes méditerranéennes et Tropicales''', '''AGAP''', cherche à comprendre les facteurs du développement des plantes et de leur adaptation aux contraintes environnementales, analyse l'organisation et la diversité des génomes et étudie l'agrobiodiversité. Cette UMR mobilise et intègre ressources et connaissances sur : *l’organisation et la diversité des génomes ; *la gestion et la valorisation de l’agro-biodiversité ; *les bases génétiques et fonctionnelles du développement et de l’adaptation à l’environnement ainsi que de la qualité des produits ; *l’intégration des données et la modélisation (des plantes en peuplement) pour l’aide à la définition d’idéotypes variétaux ; *les méthodologies les plus récentes de phénotypage et de génotypage ; *l’intégration des connaissances vers l’innovation variétale et les méthodes de sélection innovantes.  +
L’infrastructure de recherche distribuée '''AGATA''', '''Advanced GAmma Tracking Array''', est un projet européen pour construire, maintenir et exploiter un nouveau type de '''multidétecteur de photons au Germanium''' ultra pur basé sur le concept de tracking gamma (trajectographie gamma). AGATA est un détecteur mobile qui permet de sonder la structure du noyau atomique produit dans différentes réactions nucléaires induites par des faisceaux d’ions stables et radioactifs. La conception d’AGATA permet qu’il soit itinérant afin de l’exploiter auprès des meilleures installations européennes de faisceaux relativistes (comme à [[FAIR]], Allemagne) ou de faisceaux exotiques du [[GANIL]] ou du Laboratoire National de Legnaro (Italie) pour des mesures de haute précision. Les codes sources produits par l’infrastructure sont ouverts sur une forge logicielle https://gitlab.in2p3.fr/IPNL_GAMMA. Les données validées et décrites sont publiées sur un entrepôt de données https://cc.in2p3.fr.  +
La '''plateforme des données de la recherche AGORHA''' donne un accès unifié aux '''bases de données''' produites par l’'''INHA et ses partenaires'''. Ces données sont issues de programmes de recherche scientifique en '''histoire de l’art et archéologie'''. La plateforme se développe continuellement, témoignant de la diversité des problématiques de ces disciplines. Les données produites sont organisées dans des '''notices''' décrivant des œuvres, des personnes et organismes, des '''références bibliographiques et d’archives''', des '''collections''' et des '''événements'''. Ces notices sont enrichies collaborativement. L’éditorialisation (articles scientifiques, parcours thématiques, visualisations de données…) facilite la navigation pour tous les publics, amateurs ou spécialistes. Le périmètre des données exposées dans AGORHA suit les contours des programmes de recherche mis en œuvre par l’INHA et ses partenaires. La vocation d’AGORHA n’est pas d’atteindre l’exhaustivité des connaissances en histoire de l’art et archéologie mais d’être une plateforme de données de référence conforme aux standards numériques d’ouverture et de partage de la science.  +
L''''ORE AgrHyS''' est un '''Observatoires de Recherche en Environnement''' soutenu par INRAE. Il a pour objectif d’étudier les temps de réponse des flux hydrogéochimiques à l'évolution des agro-hydrosystèmes (les hydrosystèmes sous influence de l’activité agricole). Les observations et mesures réalisées sur les sites de l’ORE sont hydrologiques, hydrochimiques, météorologiques, agronomiques et pédologiques. Les observations hydrologiques et hydrochimiques sont réalisées dans la rivière, dans la nappe, dans l’eau du sol et dans la pluie. Les données de l’ORE AgrHyS concernent : *l’hydrologie (pluie, EPP, débit, piézométrie…), *la qualité de l’eau de rivière, du sol, de nappe et de pluie (paramètres physico-chimiques, concentrations chimiques), *des données spatiales sur l’occupation du sol (parcellaire, pratiques culturales) et sur le milieu physique (sol, géologie, topographie). Les données de l'ORE AgrHyS sont exploitées dans une base de données nommée '''BDDAgrhys'''. Elles peuvent être visualisées et téléchargées grâce au grapheur '''VIDAE'''. Elles sont aussi intégrées à l'Infrastructure de Données Spatialisées GéoSAS ce qui permet d'y accéder également : *par le [http://Les%20données%20de%20l’ORE%20AgrHyS%20concernent%20%20%20%20%20%20l’hydrologie%20(pluie,%20EPP,%20débit,%20piézométrie…),%20%20%20%20%20la%20qualité%20de%20l’eau%20de%20rivière,%20du%20sol,%20de%20nappe%20et%20de%20pluie%20(paramètres%20physico-chimiques,%20concentrations%20chimiques),%20%20%20%20%20des%20données%20spatiales%20sur%20l’occupation%20du%20sol%20(parcellaire,%20pratiques%20culturales)%20et%20sur%20le%20milieu%20physique%20(sol,%20géologie,%20topographie). catalogue de métadonnées] *par le [https://www6.inrae.fr/ore_agrhys/Donnees/Le-portail-geographique-de-l-ORE portail géographique de l'ORE] Observatoire de Recherche en Environnement (ORE) labélisé.  +
Les recherches développées à l'UMR Agroécologie visent à progresser dans la connaissance des '''interactions biotiques''' (en particulier '''plantes-plantes''' et '''plantes-microorganismes''') '''au sein des agrosystèmes''' afin de '''concevoir des systèmes de culture innovants respectueux de l’environnement'''. Ainsi, les recherches développées répondent à deux enjeux majeurs qui sont de : *Analyser, comprendre et agir sur les interactions et régulations au sein des communautés à différentes échelles spatiales et temporelles ; *Proposer des systèmes de culture innovants permettant d’assurer une production agricole de qualité, en quantité suffisante, tout en respectant la qualité de l’environnement. *Ces recherches sont conduites à différents niveaux d’intégration (de la molécule à la communauté) et d’échelles spatio-temporelles (microcosme, parcelle, paysage, cycle de culture, rotation,…). Elles mettent en œuvre des expertises complémentaires dans les domaines de l’agronomie, de l’écologie, de biologie, la physiologie et l’écophysiologie, la génétique, la microbiologie, la modélisation. Plateformes internes de l'UMR : *GenoSol (conservation et caractérisation génétique de la biodiversité des sols), *Plateforme de Phénotypage Plantes haut débit (4PMI), *Centre de microscopie, intégré à la plate-forme fédérative DImaCell, *Ensemble de ressources biologiques ERB  +
L’Atelier des Humanités Numériques (AHN) regroupe un réseau d’ingénieurs et de chercheurs issus de ces laboratoires et travaillant sur différents projets de corpus numériques. L’AHN propose également des conférences, des formations aux technologies intervenant dans l’édition numérique de corpus ainsi que des ateliers d’entraide sous la forme de séances pratiques informelles. Ces formations et ateliers d’entraide sont destinés aux membres des différents laboratoires de l’ENS de Lyon travaillant dans le domaine des SHS et les conférences ou formations élargies sont ouvertes plus globalement au public de l’enseignement supérieur et de la recherche.  +
Organisme mondial de « L’atome pour la paix et le développement » au sein de la famille des Nations Unies, l’'''Agence internationale de l'énergie atomique''' ou '''AIEA''', est le '''centre international de la coopération dans le domaine du nucléaire'''. En collaboration avec ses États Membres et ses nombreux partenaires dans le monde, elle œuvre à la promotion de l’utilisation sûre, sécurisée et pacifique des technologies nucléaires.  +
L’AIEA fournit des données nucléaires fondamentales destinées aux applications énergétiques et non énergétiques, ainsi que des données atomiques en vue de la recherche sur l’énergie de fusion. Les données relatives à la structure et à la décroissance nucléaires décrivent les cycles de vie et les modes de désintégration des isotopes instables, ainsi que le spectre des rayonnements émis. Les données ayant trait aux réactions nucléaires décrivent les sections efficaces des processus de collision fondamentaux, par exemple entre un neutron et un noyau, ou entre deux neutrons. Les données atomiques comprennent les sections efficaces de collisions entre électrons, atomes et molécules. L’Agence dispose aussi de données ayant trait aux interactions plasma-matériaux. l'AIEA a créé des réseaux internationaux de centres de données atomiques et nucléaires pour permettre un degré élevé d’harmonisation des activités des grands centres de données à travers le monde.  +
L’unité mixte de recherche '''AIM''' ('''Astrophysique, Interprétation, Modélisation''' UMR CEA-CNRS-Université Paris Cité) réalise et exploite des instruments installés sur les grands télescopes ou bien embarqués sur satellites dans l’espace dans le cadre des missions spatiales ou bilatérales. AIM a accès aux plus grands ordinateurs d’Europe pour ses simulations numériques basées sur l'analyse « multi-échelle » (de l'échelle des planètes aux amas de galaxies) qui permettent de retracer la structuration de l’univers au fil du temps. Le laboratoire s’appuie sur une expertise technique pointue dans le domaine de l’architecture système, de la qualité, de l’électronique et des spectro-imageurs spatiaux.  +
'''ALICE''' - '''A Large Ion Collider Experiment''' - est un '''détecteur spécialisé dans la physique des ions lourds installé sur l’anneau du Grand collisionneur de hadrons (LHC)'''. Il a été conçu pour étudier les propriétés physiques de la matière soumise à l’interaction forte, à des densités d’énergie extrêmes auxquelles une phase de la matière appelée plasma quarks-gluons se forme. La collaboration ALICE étudie le plasma quarks-gluons pendant qu’il se dilate et se refroidit, observant comment il donne progressivement naissance aux particules qui constituent la matière de notre univers. Pour étudier le plasma quarks-gluons, la collaboration ALICE utilise le détecteur ALICE, qui pèse 10 000 tonnes et mesure 26 mètres de long, 16 mètres de haut et 16 mètres de large. Celui-ci est installé dans une vaste caverne située à 56 mètres sous terre, à proximité du village de Saint-Genis-Pouilly (France), où il reçoit les faisceaux du LHC.  +
L'équipe-projet ALMAnaCH (Automatic Language Modelling and Analysis & Computational Humanities) de l’Inria est une équipe pluridisciplinaire en intelligence artificielle (IA) dédiée aux domaines du Traitement Automatique des Langues (TAL) et des Humanités Numériques (HN), se situant à la croisée de l'informatique théorique, de l'apprentissage automatique et de la linguistique.  +
AMMA-CATCH-DB est le '''portail d'accès aux données et l'entrepôt de données de l'Observatoire éco-hydro-météo en Afrique de l'Ouest'''. '''AMMA-CATCH, Observatoire hydrologique, écologique et météorologique de long terme en Afrique de l’Ouest''', est un Service National d’Observation (SNO) qui fait partie de l’Infrastructure de Recherche [[OZCAR]]. AMMA-CATCH vise à documenter sur le long terme les évolutions climatiques, hydrologiques et écologiques en Afrique de l’Ouest. Il s’appuie sur trois sites densément instrumentés, certains fonctionnant depuis le milieu des années 1980 sur la partie sahélienne de l’observatoire. La superficie de ces trois sites est comprise entre 10000 et 25000 km² ; ils sont étagés en latitude de manière à échantillonner les gradients éco-climatiques caractéristiques de la région. La base de données AMMA-CATCH-DB inventorie et diffuse les données et les produits de l’observatoire afin d’en faciliter l’accès à la communauté scientifique. Elle comprend : *les données directement collectées sur les sites de l’observatoire et celles qui en dérivent *les produits spatialisés à valeur ajoutée élaborés par les équipes AMMA-CATCH à partir de données ponctuelles ou provenant d’autres sources.  +
L’Unité Mixte de Recherche AMURE ('''Aménagement des Usages des Ressources et des Espaces marins et littoraux''') est un centre de recherche et de formation pluridisciplinaire en sciences sociales et humaines appliquées à la mer, notamment en économie, droit public, droit privé, histoire du droit, sociologie, anthropologie et psychologie. L’activité de recherche au sein de l’UMR AMURE couvre l’analyse et l’évaluation économique et juridique des politiques publiques et des institutions dans les domaines du développement des territoires et des activités maritimes, de l’exploitation des ressources et de la conservation des écosystèmes marins et côtiers. L’activité scientifique est organisée en 4 axes : * Axe A : Développement et durabilité des activités maritimes ; * Axe B : Appropriation et responsabilité ; * Axe C : Socio-écosystèmes, territoires & stratégies d’aménagement ; * Axe transverse : Pôle observation et données maritimes. L’UMR AMURE est partenaire du [https://www.gis-hommer.org/fr GIS HomMer], du [http://www.histoire-sciences-mer.org/ GIS Histoire et Sciences de la mer], du [https://www.marsouin.org/ GIS Marsouin] et du [https://gdr-emr.cnrs.fr/ GdR Énergies Marines Renouvelables] (EMR).  +
La '''base de données internationale ANISEED, Ascidian Network for In Situ Expression and Embrylogical Data''', permet une représentation du développement embryonnaire de l'ascidie au niveau du génome (séquences cis-regulatrices, expressions géniques, annotations de protéines), de la cellule (morphologie, destin, induction, lignée) ou de l’embryon complet (anatomie, morphogenèse). Le contenu de la base de données peut être exploré par l'intermédiaire d'un navigateur web classique. La plateforme Web associée https://aniseed.fr/ permet d'afficher les données dans leur contexte génomique, un module permet de manipuler des représentations tridimensionnelles de l’embryon et de décrire quantitativement les formes et l’organisation des cellules. Ce module permet aussi de combiner les informations moléculaires et embryologiques contenues dans la base à l’embryon virtuel.  +
Le Centre de recherche sur '''la langue et les textes basques''' (IKER) a créé '''un entrepôt de données''' ANPERSANA pour la valorisation '''des sources primaires''' de la recherche des études basques vers '''le libre accès'''. ANPERSANA permet de recevoir, '''documenter''', '''préserver''', diffuser, rechercher, localiser et demander des données de la recherche en langue et culture d’expression basques créées par les chercheurs, les enseignants-chercheurs et les doctorants du laboratoire IKER. Les types de données de recherche sont '''des manuscrits''', '''des carnets de recherche''', '''des images''', '''des enregistrements sonores''', '''des enregistrements musicaux''', '''des enquêtes de terrain'''.  +
L’'''UMR AOROC (Archéologie et Philologie d’Orient et d’Occident)''', est le résultat de la fusion de six équipes d’archéologie du CNRS, d’une équipe de philologie de l’ENS, d’une équipe d’égyptologie, et d’une équipe d’humanités numériques de l’EPHE. L’originalité scientifique d’AOROC tient à l’attention particulière portée aussi bien aux '''recherches archéologiques que littéraires'''. Le laboratoire pilote '''25 missions archéologiques''' en Occident comme en Orient. Toutes bénéficient de l’appui des '''pôles techniques''' (archéologie, édition, humanités numériques, communication). Les '''projets philologiques''' d’AOROC en font l’un des acteurs majeurs de la recherche en lettres classiques. À la croisée des études philologiques, historiques et archéologiques, AOROC poursuit aussi la '''publication d’importants corpus épigraphiques''', dans des langues aussi variées que le linéaire A, les langues italiques pré-romaines, que le latin. Le '''pôle Humanités Numériques''' apporte son concours aux travaux philologiques en développant des '''techniques de lecture et d’analyse innovantes''' et en rendant accessibles ses résultats sur des '''plateformes en libre accès'''.  +
L’'''Assistance publique - Hôpitaux de Paris''', '''AP-HP''' est '''un centre hospitalier universitaire''' qui regroupe 38 hôpitaux situés sur Paris et l’Ile de France. C’est un service public de santé doté de trois missions : soigner, former, chercher et innover.  +
Le '''laboratoire Astroparticules et Cosmologie, APC,''' a été conçu pour rassembler les différentes communautés (expérimentateurs, observateurs et théoriciens) impliquées dans ce domaine. Les recherches portent sur l'expérimentation ou l'observation et l'ensemble des aspects théoriques de la cosmologie et des astroparticules , depuis les fondements de la relativité générale et des théories d'unification, telles que la théorie des cordes et des branes, jusqu'à la compréhension des phénomènes d'accélération cosmique, la phénoménologie des particules cosmiques de haute énergie et la physique des neutrinos. Les simulations numériques sont un outil complémentaire d'analyse des phénomènes complexes, que ce soit l'accrétion-éjection autour des objets compacts que la formation des grandes structures cosmologiques. Le laboratoire Astroparticules et Cosmologie, APC, est centré autour de 4 thématiques principales : Cosmologie, gravitation, astrophysique de haute énergie et particules.  +
Le service '''APIS''', '''Auroral Planetary Imaging and Spectroscopy''', est un '''service de distribution de données de spectro-imagerie aurorale planétaire de l’[[Observatoire de Paris]]'''. Service National d'Observation (SNO) labélisé, APIS propose un accès ouvert et interactif à des '''observations aurorales des planètes et de leurs satellites'''. De telles observations intéressent une large communauté à l’interface entre la planétologie, la physique des magnétosphères planétaires et l’héliophysique. Plateforme de services et d'accès, APIS consiste en : *plusieurs bases de données de haut niveau, construites à partir d’observations aurorales planétaires acquises par différents spectro-imageurs UV du télescope spatial Hubble, de la sonde Cassini ou du télescope spatial Hisaki ; *une interface de recherche dédiée permettant de chercher rapidement et efficacement des données issues de ces bases à l’aide de critère de recherche conditionnels ; *la possibilité de travailler directement en ligne avec les données retrouvées à l’aide d’outils de lecture d’images ou de spectres de l’Observatoire virtuel (OV), (ALADIN, Cassis, Specview).  +