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I
L’'''Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer''' ('''Ifremer''') est un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC). L’Ifremer est un institut de référence en '''sciences et technologies marines'''. Il déploie ses capacités de recherche pour être utile à la société, dans des perspectives de développement durable et de science ouverte. Orientations scientifiques de l’Ifremer : # Comprendre la dynamique et les impacts de l’évolution de l’océan physique à l’horizon 2100 * Comprendre les évènements climatologiques et géologiques par une approche à plusieurs échelles et l’apport de données issues de diverses sources # Comprendre la dynamique des échanges à l’interface océan-lithosphère # Appréhender la dynamique de la réponse de la biodiversité et des écosystèmes au changement global # Comprendre et prédire l’évolution des organismes marins dans le cadre du changement global # Approche scientifique de l’aide à la gestion adaptative des socio-écosystèmes marins et littoraux.  +
L’'''Institut national de l’information géographique et forestière''', '''IGN''', a pour vocation de décrire la surface du territoire national, l’occupation de ses espaces urbains, agricoles, forestiers ou naturels et d'élaborer et de mettre à jour l'inventaire permanent des ressources forestières nationales. L'IGN est l’'''opérateur national de référence pour l’information géographique et forestière''', l’institut produit et agrège des données, les organise en référentiels qu’il stocke, gère et diffuse par le biais de plateformes, et fournit des services les exploitant. Il contribue ainsi à l’aménagement du territoire, au développement durable et à la protection de l’environnement, à la défense et à la sécurité nationale, à la prévention des risques, et à la politique forestière en France et au niveau international. Il participe au mouvement Open data (mouvement d'accès libre et gratuit aux données), à compter du 1er janvier 2021, '''toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’IGN sont libres et accessibles gratuitement'''. Les données sont diffusées sous licence ouverte Etalab 2.0. Seules les données incluant des droits de tiers ou protégées par le droit d’auteur (cartes et SCANs) ne sont pas concernées par cette ouverture. L’IGN référence ses données sous Licence ouverte sur le site [http://www.data.gouv.fr/ data.gouv.fr]. L'IGN a développé une application appelée [https://www.ign.fr/telechargez-application-cartographique-cartes-ign '''CartesIGN'''] réunissant de nombreuses données produites par l’Institut, et/ou ses partenaires, allant des ministères en charge de l’écologie, de l’agriculture et de la forêt aux collectivités territoriales de toutes tailles, en passant par OpenStreetMap, les Services départementaux d'incendie et de secours (SDIS), l’Office national des forêt (ONF) ou encore les Parcs régionaux et national. Cette application permet de consulter des données thématiques superposables pour découvrir la France sous toutes ses dimensions : agriculture, environnement et risques naturels, foncier, immobilier et urbanisme, forêt, hydrographie, mer et littoral, services publics et administratif, tourisme et loisirs, transports.  
L’'''Institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV)''' est l’agence de moyens et de compétences au service de la recherche scientifique dans les régions polaires. L’IPEV offre les moyens humains, logistiques, techniques et financiers ainsi que le cadre juridique nécessaires au développement de la recherche scientifique nationale dans les régions polaires et subpolaires. Depuis son siège à Brest, les équipes permanentes de l’IPEV (UAR 2928) gèrent les moyens nécessaires à l’'''organisation des expéditions scientifiques''', notamment les '''six bases scientifiques françaises''' déployées dans les régions polaires (une en Arctique, deux en Antarctique et trois dans les îles Subantarctiques), le '''navire polaire''' l’Astrolabe. Programmes de recherche et d'acquisition de données, infrastructures d'observation, catalogue de données et de métadonnées  +
L’'''Institut pour la Recherche en Santé Publique''', '''IReSP''', est un GIS, qui compte aujourd’hui 13 membres (Inserm, CNRS, IRD, Ined, Anses, CNSA, Drees, Ministère de la Santé et de la Prévention, MESR, MILDECA, Institut National du Cancer, Santé Publique France, Assurance maladie) réunis par la volonté de '''développer, structurer et promouvoir la recherche en santé publique'''. Cet objectif général du GIS-IReSP se décline au travers de 5 missions : *Développer et animer les échanges entre les décideurs publics, les institutions impliquées dans la recherche et la surveillance en santé publique, les chercheurs et les autres acteurs intéressés aux enjeux de santé publique *Contribuer à l’animation et à la coordination des communautés de recherche en santé publique *Elaborer et gérer des Appels à Projets *Accroitre la visibilité et faciliter l’accès aux résultats de la recherche en santé publique à un large public *Promouvoir l’association des parties prenantes aux démarches de recherche notamment dans une perspective de recherche participative.  +
L’'''Irfu''', '''Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers''', de la direction de la recherche fondamentale (DRF) du CEA, regroupe trois disciplines scientifiques, l’astrophysique, la physique nucléaire et la physique des particules, ainsi que de l’ensemble des expertises technologiques associées. Il se positionne pour répondre aux principales questions ouvertes dans la compréhension des quatre interactions fondamentales, à différentes échelles, de la plus petite échelle (constituants élémentaires de la matière, matière nucléaire), à la plus grande échelle (contenu énergétique et structuration de l’Univers). Ces recherches font appel au traitement de grands volumes de données, ainsi qu’à la maitrise d’outils de simulation complexes. L’Irfu participe également au développement et à l’exploitation de la très grande infrastructure de recherche [[GANIL]] (Grand accélérateur national d’ions lourds) dans le cadre d’un groupement d'intérêt de recherche (GIE) CEA-CNRS.  +
O
L’'''O3HP''' ('''Oak Observatory at the OHP'''), est un '''observatoire pour étudier la dynamique, le fonctionnement et la biodiversité d’une forêt méditerranéenne face aux changements climatiques'''… Les objectifs principaux du dispositif sont d’évaluer la réponse des forêts méditerranéennes, en termes de dynamique, fonctionnement et biodiversité, au changement climatique. Un dispositif expérimental d’exclusion des pluies permet de réduire, sur une parcelle sous "stress hydrique aggravé" comprenant plusieurs dizaines d’arbres, les précipitations en prolongeant notamment la période de sécheresse estivale. La parcelle soumise à ce changement climatique est ainsi comparée à une parcelle « témoin » sous stress hydrique naturel et à une parcelle témoin irriguée. Le site O3HP (Oak Observatory at OHP) est un site expérimental développé au sein d’une forêt de chênes pubescents (Quercus pubescens Willd.) sur le site de l’OHP (Alpes de Haute-Provence, France). Le site met à disposition des scientifiques les services suivants : *Un service d’expérimentation in situ sur les écosystèmes ; *Une instrumentation pour le suivi à long terme de ces écosystèmes et la mesure in situ des paramètres environnementaux ; *Des dispositifs et outils pour la collecte d’échantillons et de données sur les écosystèmes étudiés.  +
L’'''Observatoire Aquitain des Sciences de l’Univers (OASU)''' est un des Observatoires des Sciences de l’Univers (OSU). Il contribue notamment au progrès des connaissances par l’'''acquisition et l’archivage de données d’observation''', le développement et l’exploitation des moyens appropriés, l’élaboration des outils théoriques nécessaires, dans la continuité requise pour satisfaire aux besoins des sciences de l’univers, du système Terre et de l’environnement et de leurs applications. Il fédère les activités d’observation au sein de l'Unité d'appui et de Recherche POREA (UAR2567), et des activités de recherche dans les domaines des '''sciences de l’univers, du système Terre et de l’environnement''' sur le périmètre de ses 3 Unités Mixtes de Recherche : * Laboratoire d'Astrophysique de Bordeaux - LAB UMR5804, * Environnements et Paléoenvironnements Océaniques - [[EPOC]] UMR5805, et * Littoral, environnement et sociétés - [[LIENSs]] UMR7266. L'OASU fournit à la communauté nationale et internationale des services liés à ses activités de recherche, notamment en termes d’accueil et de mise à disposition des moyens et outils de l’Observatoire.  +
L’'''Observatoire Hydro-Géochimique de l’Environnement, OHGE''', a un rôle d’étude et de surveillance à long terme des écosystèmes et de leurs modifications en lien avec des perturbations naturelles ou anthropiques. 
Il s’inscrit dans les grands enjeux environnementaux de préservation des sols, des eaux et des systèmes forestiers. Son site d’observation, le bassin versant du Strengbach (80ha), est un écosystème granitique forestier situé en moyenne montagne (Aubure, massif des Vosges, 880 à 1150 m d’altitude). Plateforme de services et d'observation, Service Nationale d'Observation (SNO) labélisé, site instrumenté, OHGE propose : *données multi-source, multi-temporelle, multi-capteurs: suivi climatologique, hydrologique, géochimique; *archivage et bases de données numériques, métadonnées échantillons physiques  +
L’'''Observatoire Océanologique de Banyuls-sur-Mer, OOB''', plus connu sous le nom de '''Laboratoire Arago''', est un lieu privilégié pour l’'''étude de la biologie marine et de l’océanographie en Région Languedoc-Roussillon'''. Situé sur une côte rocheuse et à proximité de la frontière espagnole, il bénéficie d’un environnement exceptionnel par la diversité de ses biotopes, de sa faune et de sa flore dans les domaines marin et terrestre. Les axes de recherche principaux sont l’étude de la biodiversité, son origine, son évolution, son rôle dans le fonctionnement des écosystèmes, sa réponse aux changements globaux, mais aussi sa valorisation dans le domaine des biotechnologies marines via des partenariats industriels. Avec ses plateformes et ses infrastructures d’accueil, l’Observatoire Océanologique de Banyuls-sur-Mer offre un environnement idéal pour l’étude des organismes marins en particulier les microorganismes (prokaryotes et eukaryotes), invertébrés et poissons. L'Observatoire a pour tradition d'accueillir des chercheurs individuels ou en équipe qui souhaitent réaliser des expérimentations et bénéficier de nos infrastructures.  +
L’'''Observatoire Radioastronomique de Nançay''', ORN, est à la fois un département de l’Observatoire de Paris, une unité associée au CNRS Terre & Univers (USR704) et à l’Université d’Orléans. L'observatoire est membre de l’OSUC, Observatoire de Sciences de l’Univers en région Centre. C’est un '''site d’observation et laboratoire instrumental spécialisé dans le domaine de la radioastronomie basse fréquence''' (30 MHz à 10 GHz).. La Station de Nançay assure la recherche et le développement (microélectronique et le traitement du signal) ainsi que l’exploitation des instruments de radioastronomie basse fréquence (30 MHz à 10 GHz) suivants : * Grand Radiotélescope pour l’observation des galaxies, des enveloppes d’étoiles, des comètes, chronomètre aussi les pulsars, * L’interferomètre LOFAR (LOw Frequency ARray) pour l’étude de la réionisation de l’Univers, des sources variables (pulsars, jets, étoiles éruptives, planètes et exoplanètes), la détection des rayons cosmiques de très haute énergie, et la physique du milieu interplanétaire, * Le Radiohéliographe permet de reconstituer une image « radio » de la couronne solaire et des éruptions, * Le Réseau décamétrique pour l’observation de sources très intenses produites par des électrons énergétiques dans l’environnement magnétisé et ionisé de Jupiter et dans la couronne solaire, * L’antenne ORFEES (Observation Radio Fréquences pour l’Etude des Eruptions Solaires), * Les antennes CODALEMA (COsmic ray Detection Array with Logarithmic ElectroMagnetic Antennas). La Station de Radioastronomie de Nançay participe à plusieurs programmes européens et internationaux pour les observations et l’instrumentation.  +
L’'''Observatoire de Paris''' est un grand établissement public de recherche en '''astronomie''', '''astrophysique''' et '''métrologie du temps''', sous tutelle du Ministère de l’Education nationale. L'Observatoire de Paris est implanté sur trois sites à Paris, Meudon et Nançay (station de radioastronomie). Les trois missions principales de l’Observatoire sont : *la '''recherche''', en contribuant au progrès de la connaissance de l’Univers, *la '''formation''' initiale et continue, *la '''diffusion des connaissances'''. Les recherches menées à l’Observatoire des Sciences de l’univers (OSU) de Paris couvrent '''tous les champs de l’astronomie et l’astrophysique contemporaines''' : *l’étude du Soleil et des relations Soleil-Terre, *les planètes et systèmes planétaires, *la formation des étoiles, le milieu interstellaire, *la formation et l’évolution des galaxies, *les astroparticules et la cosmologie, *la métrologie de l’espace et du temps, *l’histoire et la philosophie des sciences. L’établissement développe et met en œuvre des services nationaux et internationaux, et apporte son concours aux grands projets d’observation de l’Univers, les savoir-faire et compétences déployés sont multiples : développement d'instruments d’observation, campagnes d'observation menées à l'international, traitement et analyse des données, simulations numériques, expériences en laboratoire, théorie... L'Observatoire de Paris fédère deux Unités d'Appui et de Recherche : * UAR observatoire de Paris - UAR2201, et * Observatoire Radioastronomique de Nançay - ORN UAR704 (en collaboration avec l'OSU OSUC); et 6 laboratoires (UMR) : * Galaxies, Etoiles, Physique, Instrumentation - GEPI UMR8111, * Institut de Mécanique Céleste et de Calcul des Ephémérides - IMCCE UMR8028, * Laboratoire d'Etude du Rayonnement et de la Matière en Astrophysique et Atmosphères - LERMA UMR8112, * Laboratoire d'études spatiales et d'instrumentation en astrophysique - LESIA UMR8109, * Laboratoire Univers et Théories - LUTH UMR8102, * Systèmes de Référence Temps Espace - SYRTE UMR8630.  
L’'''Observatoire de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines''' ('''OVSQ''') sous la double tutelle de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) et du Centre national de recherche scientifique ([[CNRS|CNRS]]), a 4 missions principales : Observation, Recherche, Enseignement et Communication. L’OVSQ a succédé en 2009 à l’Institut Pierre-Simon Laplace ([[IPSL|IPSL]]) en tant qu’Observatoire des Sciences de l’Univers (OSU) affilié à l’UVSQ. 3 laboratoires d’envergures internationales sont rattachés à l’OVSQ : *le [[LATMOS|LATMOS]] UMR8190 (spatial), *le LSCE UMR8212 (GIEC/Changement climatique) et *le CEARC EA4455 (Arctique). L’OVSQ coordonne les services nationaux d’observations (SNO) [[NDACC|NDACC]] et [[ICOS-France|ICOS]]. Il gère des moyens communs, dont une plateforme d’intégrations et de tests, la PIT, et des plateformes de données pour certaines missions spatiales au travers de son Unité d'Appui et de Recherche (UAR OVSQ UAR3342).  +
L’'''Observatoire de la Côte d’Azur (OCA)''' est un établissement public national d'enseignement supérieur et de la recherche à caractère administratif (EPA) et porte par ses statuts les missions de recherche scientifique, de services d'observation et de diffusion des connaissances d'un '''Observatoire des Sciences de l’Univers (OSU)'''. L’OCA regroupe et pilote les activités de '''recherche en sciences de la Terre et de l’Univers''' de la région azuréenne grâce à ses deux Unités d'Appui et de Recherche : * Laboratoire souterrain à bas bruit : LSBB - UAR3538, et * OCA-Galilée - UAR2202 ; et ses 3 unités de recherche multitutelles (OCA, CNRS, UNS, IRD) : Artémis (UMR7250), Géoazur (UMR7329) et Lagrange (UMR7293). L’OCA est membre de la ComUE Université Côte d'Azur. L’observatoire de la Côte d’Azur est installé sur quatre sites : le plateau de Calern, le mont Gros (site historique de l’Observatoire de la Côte d’Azur), le campus de Valrose à Nice et le site de Géoazur dans la technopole de Sophia Antipolis. Son rôle est d’explorer, de comprendre et de valoriser les sciences de la Terre et de l’Univers, que ce soit en astrophysique, en sciences de la Terre, mais aussi dans les sciences connexes comme la mécanique, le traitement du signal, ou l’optique. Pour produire et exploiter les données recueillies par les grands instruments au sol et dans l’espace, l’OCA met en œuvre une approche globale combinant théorie, modélisation, observation, analyse et constitution de banques de données. Pour cela, l’OCA dispose de l’unité de services Galilée permettant de soutenir le fonctionnement des laboratoires de recherche.  +
L’'''Observatoire de l’Eau et de l’Erosion aux Antilles (ObsERA)''' est un Service National d’Observation du CNRS Terre & Univers, membre de l’Infra-Structure de recherche [[ELTER-France OZCAR|OZCAR]], dédiée à l’'''observation et à l’étude de la zone critique'''. ObsERA étudie l’influence des processus d’érosion sur les paysages et les grands cycles biogéochimiques, dans le contexte de l’île de Basse-Terre, une île tropicale volcanique de l’archipel de la Guadeloupe, dans l’arc des petites Antilles. ObsERA mesure en continu l’évolution de grandeurs géochimiques, hydrologiques et géomorphologiques sur 4 bassins versants instrumentés : les bassins de Capesterre, Bras-David, Vieux-Habitants et Ravine Quiock. Les données recueillies permettent d’estimer les flux de sédiments transportés depuis les bassins versants vers l’océan. Elles permettent aussi de contraindre les échanges entre l’atmosphère, l’eau, les roches, les sols et les plantes. A plus long terme, les données d’ObsERA permettront également aux scientifiques d’étudier la réponse environnementale des bassins versants de Guadeloupe au changement climatique en cours. Les données collectées par ObsERA sont accessibles avec un identifiant et un mot de passe sur le [http://webobsera.ipgp.fr/ site de distribution des données d’ObsERA], ainsi que sur le site de la plateforme [https://in-situ.theia-land.fr/ THEIA].  +
L’'''Observatoire des Sciences de l'Univers OREME''', '''Observatoire de REcherche Méditerranéen de l'Environnement''', se focalise sur les risques naturels et l'impact des changements globaux et anthropiques, en particulier en milieu méditerranéen à travers des misions diversifiées : *Soutenir l'activité ou le développement d'observations systématiques *Elaborer des bases de données environnementales *Encourager la mutualisation des moyens analytiques et des savoir-faire *Constituer le relais local des réseaux nationaux et internationaux d'observations *Jouer son rôle de partenaire de formation. L'OSU OREME fédère une Unité d'Appui et de Recherche (UAR OREME UAR3282) et 5 laboratoires (UMR) : * Géosciences Montpellier - UMR5243, * Hydrosciences Montpellier - HSM UMR5151, * Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive - CEFE UMR5175, * Institut des Sciences de l'Evolution de Montpellier - ISEM UMR5554, * MARine Biodiversity Exploitation and Conservation - MARBEC UMR9190.  +
L’'''Observatoire des Sciences de l’Univers (OSU) Institut Pythéas''' fédère six grandes unités mixtes de recherche : *'''CEREGE''' UMR7330 : Centre Européen de Recherche et d’Enseignement des Géosciences de l’Environnement ; *'''IMBE''' UMR7263 : Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale ; *'''LAM''' UMR7326 : Laboratoire d’Astrophysique de Marseille ; *'''LPED''' : Laboratoire Population Environnement Développement ; *'''MIO''' UMR7294 : Institut Méditerranéen d’Océanologie ; *'''RECOVER''' : Risques, ECOsystèmes, Vulnérabilité, Environnement, Résilience ; et une unité mixte de service, l’'''UAR Pythéas''' (UAR3470), une équipe de plus de 100 personnes offrant des services transversaux aux laboratoires, incluant l’OHP, site d’observation pluridisciplinaire et les plateformes techniques mutualisées. L’OSU Institut Pythéas, couvre les grandes thématiques scientifiques des sciences de la Terre, de l’Environnement et de l’Univers : *Géosciences de l’environnement *Sciences de la biodiversité et écologie *Astronomie *Océanologie *Interaction Sociétés - Environnement Les grandes missions de cet OSU sont : *Contribuer à l’enrichissement des connaissances **Mener des grands programmes de recherche **Participer à la conception d’instruments d’observation *Valoriser ses recherches **Développer des liens avec le monde industriel *Participer à la formation universitaire et à la diffusion de la culture scientifique.  +
L’'''Observatoire des sciences de l’univers Nantes Atlantique (OSUNA)''', créé en 2008, est une école interne de Nantes Université. Il s'adosse à une Unité d'Appui et de Recherche (UAR3281) créée en 2010. Pour la période 2022-2026, il fédère plusieurs laboratoires et équipes de recherche : * [[LPG|Laboratoire de Planétologie et Géosciences]] - LPG UMR6112, et * [[LETG|Littoral, Environnement, Télédétection, Géomatique]] - LETG UMR6554. Les activités de l'OSUNA se déclinent en deux thèmes : "Terre-Mer" et "Planètes et Satellites".  +
L’'''Observatoire des sciences de l’univers de Rennes''', '''OSERen''', est une composante de l’université de Rennes 1 (école interne). L’OSERen assure une mission de formation dans le domaine des '''sciences de la Terre''', de l’'''écologie''' et de l’'''environnement'''. Structure fédérative de recherche, l'OSERen pilote les recherches en environnement en associant les principaux laboratoires de cette thématique au sein du pôle scientifique rennais (CNRS, INRAE, Université de Rennes 1 et 2, Agrocampus Ouest). Observatoire des Sciences de l’Univers du CNRS, l'OSERen assure des missions spécifiques d’observation des systèmes planétaires et environnementaux sur le long terme. L'OSERen fédère une Unité d'Appui et de Recherche (UAR OSERen 3343) et 4 laboratoires (UMR) : * Géosciences Rennes - GR UMR6118, * Ecosystèmes, biodiversité, évolution - ECOBIO UMR6553, * Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire - CREAAH UMR6566, * Littoral, Environnement, Télédétection, Géomatique - LETG UMR6554.  +
L’'''Observatoire pour l’Archéologie et le Patrimoine en Haute Bigorre''' ('''OAPHB''') est une association Loi de 1901 afin de porter et développer '''les recherches initiées à partir de la redécouverte d’un canal antique à Bagnères de Bigorre''' en 2014. Dans l’objectif d’actualiser les connaissances relatives à l’économie des paysages de la Haute Bigorre, l’OAPHB : * Accueille des chercheurs et des concepteurs * Programme des colloques et des ateliers réunissant sur site habitants, élus et scientifiques * Accompagne des étudiants en Licence / Master / Doctorat * Coopère avec d’autres associations.  +
A
L’'''UMR AOROC (Archéologie et Philologie d’Orient et d’Occident)''', est le résultat de la fusion de six équipes d’archéologie du CNRS, d’une équipe de philologie de l’ENS, d’une équipe d’égyptologie, et d’une équipe d’humanités numériques de l’EPHE. L’originalité scientifique d’AOROC tient à l’attention particulière portée aussi bien aux '''recherches archéologiques que littéraires'''. Le laboratoire pilote '''25 missions archéologiques''' en Occident comme en Orient. Toutes bénéficient de l’appui des '''pôles techniques''' (archéologie, édition, humanités numériques, communication). Les '''projets philologiques''' d’AOROC en font l’un des acteurs majeurs de la recherche en lettres classiques. À la croisée des études philologiques, historiques et archéologiques, AOROC poursuit aussi la '''publication d’importants corpus épigraphiques''', dans des langues aussi variées que le linéaire A, les langues italiques pré-romaines, que le latin. Le '''pôle Humanités Numériques''' apporte son concours aux travaux philologiques en développant des '''techniques de lecture et d’analyse innovantes''' et en rendant accessibles ses résultats sur des '''plateformes en libre accès'''.  +