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I
L’'''IPREM''' (Institut des sciences analytiques et de physico-chimie pour l’environnement et les matériaux) est une Unité Mixte de Recherche CNRS / UPPA (UMR 5254).
Ses compétences sont basées autour de stratégies analytiques, de la modélisation, d’approches physico-chimiques, d’études fines de structures et de réactivité, d’élaboration, caractérisation et mise en œuvre à différentes échelles. Elles permettent d’afficher une position originale dans le domaine des applications dans de nombreux secteurs industriels tant au niveau national qu’international. +
La '''plateforme ECOMES''' de l’Institut des sciences analytiques et de physico-chimie pour l'environnement et les matériaux se spécialise dans la '''spéciation des métaux''' et la '''métallomique'''. Elle est également experte dans les analyses non ciblées (métabolites, polluants émergents, additifs etc…) ainsi que l'analyse des composés volatils. Grâce à son parc de spectromètres de masse, ECOMES propose des prestations comme la détermination de la composition en métaux dans toutes sortes de matrices, l’identification de biomarqueurs, l’analyse d’empreintes volatils pour tracer l’authenticité, la recherche de polluants émergents, et la caractérisation de nanoparticules. Ses technologies sont appliquées dans les domaines de l’agroalimentaire, l'environnement, la nutrition, la santé, l'énergie, ou encore des matériaux.<br>
Elle est '''labellisée''' par l'[https://www.inc.cnrs.fr/fr/plateformes-labellisees Institut national de chimie (CNRS Chimie)]. +
La '''plateforme Imagerie Isotopique Inorganique''' (I3) de l’Institut des sciences analytiques et de physico-chimie pour l'environnement et les matériaux se spécialise dans la mesure de '''traces élémentaires''' et '''isotopiques''' et la '''caractérisation de nano-objets'''. Elle se spécialise dans l'analyse par imagerie à faible échelle, offrant des outils avancés pour une compréhension détaillée et précise des matériaux inorganiques, la spéciation du mercure. Ses technologies sont appliquées dans divers domaines tels que les géosciences, l'environnement, l'agro-alimentaire l’archéométrie ou encore la santé, permettant des analyses pour la recherche et le développement dans ces secteurs.<br>
Elle est '''labellisée''' par l'[https://www.inc.cnrs.fr/fr/plateformes-labellisees Institut national de chimie (CNRS Chimie)]. +
Les recherches à l’'''IPS2, Institut des Sciences des Plantes - Paris Saclay''', visent à mieux comprendre les '''mécanismes génétiques et moléculaires qui contrôlent la croissance de la plante et leurs régulations''' par les signaux endogènes et exogènes d’origine biotique (bactéries et champignons) et abiotique (stress environnemental, nutriments ou autres).
L’analyse de ces mécanismes est effectuée de manière intégrée à l’échelle de la cellule, de l’organe jusqu’à la plante entière.
L’IPS2 applique une approche multidisciplinaire (en combinant la génomique, la biologie moléculaire et cellulaire, la bio-informatique, la biochimie, la génétique, la physiologie) et développe des outils (incluant la bio-informatique et la modélisation) indispensables pour développer une biologie prédictive et facilitera la recherche translationnelle des espèces modèles aux espèces cultivées. +
Créé en 1995, l’'''Institut Pierre Simon Laplace (IPSL)''' est une '''fédération de recherche en sciences de l’environnement''' dont les thématiques concernent l’'''étude du « Système Terre » dans sa globalité et des objets du Système solaire'''.
L’IPSL est composé de 9 laboratoires :
*le Centre d'Enseignement et de Recherche en Environnement Atmosphérique (CEREA)
*le laboratoire Géosciences Paris-Sud (GEOPS)
*le Laboratoire Atmosphères, Milieux, Observations spatiales (LATMOS)
*une équipe du Laboratoire d’Études du Rayonnement et de la Matière en Astrophysique et Atmosphères (LERMA)
*le Laboratoire inter-universitaire des systèmes atmosphériques
*le Laboratoire de météorologie dynamique (LMD)
*le Laboratoire d'océanographie et du climat : expérimentation et approches numériques (LOCEAN)
*le Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE)
*le laboratoire Milieux environnementaux, transferts et interactions dans les hydrosystèmes et les sols (METIS)
L’IPSL a élaboré le projet ESPRI (Ensemble de Services Pour la Recherche à l'IPSL) afin de mettre en œuvre sa politique concernant l’analyse, l’archivage, et la distribution de données scientifiques afin de répondre aux questions concernant l’environnement et le climat, sur terre ou pour d’autres planètes. L’objectif est de développer les outils et l’infrastructure informatique permettant d’assurer la gestion des données d’intérêt collectif (données provenant de la collecte d’observation ou issues des modèles numériques). +
Infrastructure distribuée d'acquisition, de services et de données, l’Institut de Radioastronomie Millimétrique (IRAM) est un institut international de recherche (France-Allemagne-Espagne) dont le siège est situé à Grenoble. Son objectif est d'explorer l'univers et d'étudier ses origines et son évolution.
L’IRAM assure le fonctionnement, le développement et met à disposition de la communauté scientifique deux observatoires astronomiques dans le domaine des longueurs d’onde millimétriques et submillimétriques (de 0,8 à 3,4 mm, soit 70 à 350 GHz) utilisés en astrophysique moderne :
* l’interféromètre NOEMA (NOrthern Extended Millimeter Array) situé sur le Plateau de Bure (Hautes-Alpes),
* le télescope de 30 mètres situé à Pico Veleta près de Grenade en Espagne.
Ces radiotélescopes permettent l'étude de la matière froide en mesurant l'émission de gaz moléculaire et de poussière qui sont les éléments clés de la formation des étoiles et des galaxies lors de l'évolution de l'univers.
L’IRAM dispose d’équipes et de laboratoires couvrant les besoins techniques et scientifiques de la radioastronomie millimétrique pour le bénéfice de la communauté astronomique.
Infrastructure dotée d’une politique de données FAIR en application. +
L''''Institut Rayonnement-Matière de Saclay''' ('''IRAMIS''') est un des principaux '''Instituts de la Direction de la Recherche Fondamentale (DRF) du CEA'''. Les activités de recherche d’IRAMIS portent sur '''les nouvelles technologies pour l'énergie, les technologies quantiques, les nouveaux matériaux, les systèmes complexes et l'interaction rayonnement-matière'''.
IRAMIS comprend 6 Unités de recherche en partenariat avec le CNRS, l'École Polytechnique ou l'ENSICAEN :
* Centre de Recherche sur les Ions, les Matériaux et la Photonique (CIMAP)
* Laboratoire Interactions, Dynamiques et Lasers (LIDYL)
* Laboratoire Léon Brillouin (LLB)
* Service de Physique de l'Etat Condensé (SPEC)
* NIMBE (Nanosciences et Innovation pour les Matériaux, la Biomédecine et l'Énergie)
* Laboratoire des Solides Irradiés (LSI). +
L’'''IRAP''', I'''nstitut de Recherche en Astrophysique et Planétologie''', a pour objectifs scientifiques '''l’étude et la compréhension de l’Univers et de son contenu''' : la Terre en tant que planète, son environnement spatial ionisé, le soleil et ses planètes, les étoiles et leurs systèmes planétaires, le milieu interstellaire, les galaxies, les tous premiers astres et le Big Bang primordial. Avec des activités de conception, construction, intégration et exploitation d’instruments au sol et dans l’espace ainsi que des expériences de laboratoire permettant de caractériser les processus physiques, l’IRAP est un des pôles majeur de l’astrophysique sol-espace en France. +
L’'''Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA)''' est le seul établissement du Service de Santé des Armées dédié à la '''recherche biomédicale de défense et de sécurité nationale'''. Il assure des activités de recherche, des expertises et des formations.
Il conduit des recherches médicales centrées sur les '''milieux d’emploi des forces armées ainsi que sur les risques NRBC (nucléaire, radiologique, biologique et chimique).''' +
'''L'Institut de Recherche sur le Cancer et le Vieillissement, Nice (IRCAN)''' a pour vocation de mener des recherches concernant les principaux domaines de la biologie, de la recherche fondamentale aux applications médicales, avec pour objectifs d'améliorer notre compréhension des fondements communs entre le vieillissement et le cancer, et de développer des stratégies innovantes pour prévenir et guérir le cancer et les pathologies chroniques liées à l'âge. +
La '''plateforme IRCATECH''' de l'Institut de recherches sur la catalyse et l’environnement de Lyon (IRCELYON) se spécialise dans la '''caractérisation''' des matériaux '''catalytiques''', offrant des analyses diverses et adaptées à ces solides. Elle propose également des suivis de caractérisation, permettant une étude détaillée et en temps réel des performances et des mécanismes des catalyseurs dans des conditions opérationnelles.
Adossée à IRCATECH, la plateforme Ly-ETEM propose également l’accès à des caractérisations par microscopie électronique à transmission en mode environnemental (sous flux de gaz et en température).
Elle est labellisée par l'[https://www.inc.cnrs.fr/fr/plateformes-labellisees Institut national de chimie (CNRS Chimie)]. +
L’'''Institut de recherche sur le cinéma et l’audiovisuel''' ('''IRCAV''') mène des recherches sur '''l’ensemble du domaine cinématographique et audiovisuel''' : du cinéma des premiers temps aux productions numériques, du cinéma de fiction au documentaire, du film de famille au cinéma expérimental, de la télévision à la vidéo, de la photographie au téléphone mobile, de la publicité aux créations destinées aux musées et galeries d’art. Elles relèvent de plusieurs disciplines, notamment l’esthétique, l’histoire, l’économie, la sociologie, le droit, l’anthropologie, les études culturelles, la sémiologie et la communication.
L’IRCAV s’organise autour de quatre polarités :
* Polarité Esthétique du cinéma, de l’audiovisuel et des images
* Polarité Histoire et cinéma / Histoire du cinéma et de l’audiovisuel
* Polarité Économie, sociologie et droit du cinéma et de l’audiovisuel
* Polarité Études culturelles et pragmatique du cinéma et de l’audiovisuel. +
L’'''Institut de Recherches sur la Catalyse''' (IRC) a été créé par le CNRS en 1958, sous l’impulsion du Professeur Marcel Prettre. En 2007, l’IRC a fusionné avec le LACE (Laboratoire d’Application de la Chimie à l’Environnement) pour devenir l’'''IRCELYON''', un centre de recherche de classe mondiale dédié à la compréhension globale des '''réactions catalysées''' appliquées aux problèmes industriels et de société dans les domaines de l’'''énergie''', de la '''chimie''' et de l’'''environnement'''. +
L’'''Institut de recherche sur la Renaissance, l’âge Classique et les Lumières''' ('''IRCL''') mène des travaux sur '''les arts vivants, les cultures et les patrimoines en Europe de la Renaissance aux Lumières : généalogies et enjeux contemporains'''.
L’activité scientifique de l’IRCL est organisée autour de trois pôles :
* Pôle 1 : Environnements culturels en mutation de la Renaissance aux Lumières
* Pôle 2 : Transferts et traductions dans l’Europe des XVIe–XVIIIe siècles
* Pôle 3 : Dynamiques contemporaines des héritages dans un monde globalisé. +
L’'''Institut des récifs coralliens du Pacifique''' ('''IRCP''') est un institut de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE).
Les missions principales de l’IRCP :
* favoriser dans la durée, à l’échelle régionale du Pacifique, le lien nécessaire entre '''recherche fondamentale, politique de préservation et formation des acteurs dans le domaine de la gestion des récifs coralliens''' ;
* soutenir des problématiques transversales, qui prennent en compte l’apport des '''sciences humaines et sociales pour la gestion durable des récifs coralliens''' ;
* mettre en place un '''réseau de surveillance des récifs coralliens''' ;
* œuvrer en faveur de '''projets fédérateurs visant à la préservation des récifs coralliens''' et ainsi d’apporter, dans un contexte de développement durable, une contribution à l’avenir des écosystèmes coralliens et des peuples qui en dépendent.
Pour l’exercice de ses missions, l’IRCP s’appuie sur le potentiel de recherche et de service de la section compétente de l’Ecole pratique des hautes études tant en métropole qu’en Polynésie française. A ce titre, l’IRCP possède des liens très étroits avec le '''Centre de Biologie et écologie tropicale et Méditerranée''' (EPHE – CNRS – Université de Perpignan) et le '''Centre de recherches insulaires et Observatoire de l’Environnement à Moorea''' ('''CRIOBE''' – URS 3278 PSL-CNRS-EPHE-UPVD). +
L’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) est un organisme public pluridisciplinaire dédié à la recherche dans le domaine du développement durable et à la coopération scientifique avec les pays en développement (PED). L’IRD travaille principalement en partenariat avec les pays méditerranéens et intertropicaux. L’Institut est présent dans une cinquantaine de pays. Les objectifs de l’IRD sont de répondre aux grands enjeux liés aux changements globaux, environnementaux, économiques, sociaux et culturels qui affectent la totalité de la planète.
La recherche à l'IRD s'appuie sur des unités mixtes (UMR, UMI, UMS) réparties dans cinq départements scientifiques :
*Département Dynamiques Internes et de Surface des Continents (DISCO);
*Département Ecologie, Biodiversité et Fonctionnement des Ecosystèmes Continentaux (ECOBIO);
*Département Océans, climat et ressources (OCEANS);
*Département Santé et sociétés (SAS);
*Département Sociétés et Mondialisation (SOC).
L’un des objectifs de la mission Infrastructures et données numériques (MIDN) de l’IRD est de faire émerger '''une politique institutionnelle''', partagée avec les partenaires du Sud, de '''gestion des données de la recherche''' en accord avec les principes du mouvement de l’open Data et de l’open Science répondant également à l’échange de données vers les dispositifs nationaux et internationaux.
En 2021, l'IRD adopte une [https://www.ird.fr/sites/ird_fr/files/2021-07/5_2_CA2506_Feuille%20de%20route%20pour%20une%20science%20ouverte%20et%20partagée_vf.pdf Feuille de route pour une science ouverte et partagée].
L’IRD dispose '''d'un entrepôt institutionnel de données de recherche''' [[DataSuds]] basé sur le logiciel open source '''Dataverse'''. +
Le '''groupe de travail IRD DMP''', rassemble documentalistes, juristes, informaticiens, gestionnaires de contrats et de projets. Il est chargé d'assister membres et partenaires de l'IRD désirant '''rédiger un plan de gestion de données''' : recommandations sur IRD Data et DMP-OPIDOR, Service Questions Réponses, relecture et propositions de corrections ou de complément, formations, etc.
Il est joignable à l'adresse dmp@ird.fr. +
Le site IRD Data propose des informations sur '''la gestion des données de la recherche''' à l’Institut de Recherche pour le Développement incluant notamment des recommandations, des ressources et des services.
Les thématiques abordées concernent :
* les Plans de Gestions de Données (PGD, ou Data Management Plan : DMP) ;
* les données (types, formats, documentation, métadonnées, FAIRisation, sauvegarde),
* la publication des données (cadre juridique, licence de diffusion, entrepôts de données, DOI, Data paper) ;
* l’utilisation des données (recherche, citation, droits d’utilisation).
IRD Data permet l’accès à l’entrepôt DataSuds. +
'''IRD Drive''' est un '''espace de stockage''' et de '''collaboration''' pour les unités et directions. Il permet de stocker et partager des fichiers allant jusqu’à une dizaine de gigaoctets. Il dispose également d’un éditeur en ligne permettant la collaboration sur des documents, des tableurs et des présentations.
Les unités et directions disposent d’un espace de 5 To, sur lequel elles sont libres quant à l’organisation en terme d’arborescence et des droits d’accès. Chaque agent de l’IRD dispose également d’un espace personnel de 100 Go.
Les principales fonctionnalités sont :
* Utilisation en ligne ;
* Partage de dossier et fichier entre utilisateurs de l’IRD ou de la fédération d’identité de Renater, avec différents niveaux d’accès ;
* Possibilité d’édition en ligne simultanée de documents texte, tableurs et présentations ;
* Possibilité de synchroniser un dossier local sur ordinateur avec IRD Drive ;
* Partage par lien pour collaborer avec les personnes hors Fédération d’identité de Renater. +
IRD Forge permet aux scientifiques de stocker, tracer et diffuser des codes sources et applications.
La forge logicielle de l’IRD est un service institutionnel accessible à l’IRD et à ses partenaires (comptes RENATER ou CRU), qui permet le dépôt, le suivi et la diffusion des codes sources et logiciels des scientifiques de l’IRD et de ses partenaires. Basée sur une solution robuste et reconnue (GitLab CE), la forge IRD permet un suivi des versions et le déploiement continu des logiciels (DevOps). De plus, les dépôts de code peuvent être à diffusion large ou restreinte. Chaque unité dispose de son espace dédié pour une meilleure identification des productions de chacun. Enfin, la possibilité de générer des pages de documentation (GitlabPages) permet d’améliorer la diffusion et l’adoption des logiciels de recherches produits par l’IRD et ses partenaires.
Fonctionnalités GitLab disponibles sur IRD Forge :
*dépôt de code GIT
*tickets et demande de fusion
*intégration continue sur un serveur gitlab runner docker
*registre de paquets, registre d'image docker
*site statique par projet +