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L’Institut Pasteur est une fondation à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la prévention et au traitement des maladies, en priorité infectieuses, par la recherche, l'innovation, l’enseignement, et des actions de santé publique.
L’Institut Pasteur développe de nombreux grands projets internationaux en partenariat avec les grandes instances scientifiques internationales comme l’Organisation mondiale de la santé, et de nombreuses organisations, fondations, instituts de recherche, universités ou autres acteurs privés du monde entier. Par ailleurs, l’Institut Pasteur est membre du Pasteur Network, réseau de coopération internationale en santé publique, enseignement et recherche, qui regroupe 33 membres dans le monde. +
L’Institut d'Histoire Moderne et Contemporaine (IHMC) est un '''laboratoire ayant pour vocation d’étudier sur le temps long les processus historiques qui ont construit depuis le XVe siècle le monde actuel'''. Les périodes moderne et contemporaine y sont envisagées comme un cycle historique d’ensemble, celui de la modernité, caractérisé en particulier par l’intensification des circulations et des échanges et un élargissement constant des espaces reliés, en Europe et hors d’Europe.
Dans cette perspective, l’IHMC a fait le choix de quelques orientations générales : d’abord, celui de privilégier les approches d’histoire sociale, au sens large ; ensuite celui de prendre toujours en compte la dimension cognitive des processus historiques ; enfin, celui d’adopter en priorité un point de vue transnational et interétatique.
L’ensemble de ses activités scientifiques s’inscrit dans quatre grands axes de recherche:
* Conflits et territoires de l’époque moderne et contemporaine
* Villes et environnements
* Savoirs et patrimoines
* Mobilités et échanges +
L’Institut de Biologie Intégrative de la Cellule, I2BC, UMR 9198 est une Unité Mixte de Recherche (CEA, CNRS, Université Paris-Saclay).
L’unité est constituée de 70 équipes de recherches, 15 plateformes technologiques, provenant de 8 unités de recherches (CGM, IBBMC, IGM, ISV, LEBS, VMS, SB2SM, SBiGeM).
L'I2BC est à l'origine de CRISPR-CAS++, la principale base de données internationale de séquences CRISPR et des protéines Cas associées. +
L’Institut de Biologie Structurale, IBS, est à la fois un centre de recherche, un plateau technique, un site d’accueil et de formation scientifique avec pour objectif de développer une recherche fondamentale et appliquée en biologie structurale intégrée.
L’IBS comporte 19 groupes de recherche qui proposent une approche multi-disciplinaire (aux frontières de la biologie, de la physique et de la chimie) en cohérence avec les trois programmes de recherche :
* Assemblage, Dynamique et réactivité
* Protéines membranaires et glycobiologie
* Microbiologie, infection et immunité. +
L’Institut de Biologie de l’Ecole Normale Supérieure, IBENS, – unité mixte de l’ENS, du CNRS et de l’Inserm - est un centre de recherche fondamentale qui mène des projets innovants visant à décrypter les mécanismes et principes essentiels au cœur du fonctionnement normal et pathologique des systèmes vivants.
L’activité scientifique couvre quatre grands champs disciplinaires (Génétique et Génomique, Biologie Cellulaire et Développement, Neuroscience, Ecologie et Evolution) et s’appuie sur cinq plateaux technologiques (Génomique, Protéomique, Imagerie, Biologie Computationnelle, FabLab) et des fonctions support centralisées (Administration, Informatique). Avec une forte vocation à la pluridisciplinarité, l’IBENS porte une vision holistique du vivant en intégrant ses différents niveaux de complexité - des molécules et cellules uniques, aux réseaux et organes, jusqu’aux organismes entiers et aux populations en interaction avec leur environnement. +
L’Institut de Chimie des Substances Naturelles, ICSN, constitue le pôle chimie du campus CNRS de Gif sur Yvette. L’institut développe des activités à l’interface chimie-biologie, avec les substances naturelles comme objet d’étude et possède d’importantes plateformes analytiques.
L’ICSN est organisée en quatre départements de recherche :
* Chimie des Substances Naturelles et Chimie Médicinale
* Synthèse Organique et Méthodes Catalytiques
* Chémobiologie
* Chimie et Biologie Structurales et Analytiques. +
L’Institut de Physique du Globe Paris (IPGP) remplit trois missions dans le domaine des géosciences : la recherche, l’observation et l’enseignement.
La recherche concerne les disciplines majeures des Sciences de la Terre, des Planètes et de l'Environnement : la chimie, la physique, la géologie, les mathématiques et la biologie.
L’IPGP assure l’observation des phénomènes naturels en volcanologie, sismologie et géomagnétisme, ainsi que la surveillance des trois volcans actifs français (la Soufrière, la montagne Pelée et le Piton de la Fournaise).
L’IPGP associe la recherche et l’observation à terre comme en mer, l'analyse et la mesure en laboratoire afin de construire des modèles conceptuels, analogiques et numériques. Le Service de Calcul Parallèle et de Traitement de Données en sciences de la Terre (S-CAPAD) est l’infrastructure dédiée à cet objectif. +
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L’Institut de Radioastronomie Millimétrique (IRAM) assure le fonctionnement, le développement et met à disposition de la communauté scientifique '''l’interféromètre NOEMA''' ('''NOrthern Extended Millimeter Array''') situé dans l'hémisphère Nord pour l’étude de l’évolution de '''l’Univers froid'''. NOEMA est composé de 9 antennes mobiles de 15 m de diamètre situé sur le Plateau de Bure (Hautes-Alpes) qui passera progressivement à 12 antennes en 2019. Le principe de fonctionnement est basé sur l’interférométrie, les antennes se comportent comme un seul télescope lors des observations.
'''La radioastronomie millimétrique''' permet l'étude de '''la matière froide''' en mesurant l'émission de gaz moléculaire et de poussière afin de couvrir les thématiques scientifiques suivantes:
* l’étude du système solaire (atmosphères planétaires, comètes),
* la formation des étoiles et des disques protoplanétaires,
* les phases évoluées des étoiles,
* les propriétés physico-chimiques du milieu interstellaire et des galaxies proches,
* la formation des galaxies dans l’univers à grand décalage vers le rouge (redshift),
* les études cosmologiques associées.
Les données issues de NOEMA sont '''stockées''' et '''archivées''' à l’IRAM. '''L’accès libre''' aux données d’observation issues de l’interféromètre NOEMA est soumis à '''une période d’embargo de 36 mois''' pour les autres utilisateurs en tenant compte des contraintes légales. +
I
L’Institut de Recherche en Informatique de Toulouse (IRIT), créé en 1990, est une Unité Mixte de Recherche (UMR) du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), de l’Institut National Polytechnique de Toulouse (INP), de l’Université de Toulouse, de l’Université Toulouse Capitole et de l’Université de Toulouse Jean Jaurès.
L’IRIT représente l’un des plus forts potentiels de la recherche en informatique en France, fédérant plus de 270 chercheurs et enseignants chercheurs, sur un effectif global de 700 personnes.
Les 21 équipes de recherche du laboratoire sont structurées en sept thèmes scientifiques qui couvrent l’ensemble des domaines de l’informatique actuelle :
* Analyse et synthèse de l'information (4 équipes)
* Indexation et recherche d'informations (3 équipes)
* Interaction, Coopération, Adaptation paR l’Expérimentation (ICARE) (2 équipes)
* Raisonnement et décision (3 équipes)
* Modélisation et calcul haute performance (1 équipe)
* Architecture, Systèmes et Réseaux (5 équipes)
* Sûreté de développement du logiciel et certification (3 équipes)
4 axes stratégiques matérialisent les recherches plus « transverses »:
* Systèmes embarqués critiques
* Systèmes sociotechniques ambiants
* Systèmes informatiques pour la santé et l’autonomie
* Masses de données et calcul
Les objectifs de l'IRIT sont à la mesure de sa taille, tant sur le plan de la recherche que sur le plan de la formation et du transfert technologique.
La diversité des thèmes scientifiques couverts permet d'élaborer des projets ambitieux et de répondre à la forte demande du monde socio-économique.
Cette diversité au sein de l'Institut constitue un très important foyer de multidisciplinarité et de complémentarité. +
L’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) est un organisme public pluridisciplinaire dédié à la recherche dans le domaine du développement durable et à la coopération scientifique avec les pays en développement (PED). L’IRD travaille principalement en partenariat avec les pays méditerranéens et intertropicaux. L’Institut est présent dans une cinquantaine de pays. Les objectifs de l’IRD sont de répondre aux grands enjeux liés aux changements globaux, environnementaux, économiques, sociaux et culturels qui affectent la totalité de la planète.
La recherche à l'IRD s'appuie sur des unités mixtes (UMR, UMI, UMS) réparties dans cinq départements scientifiques :
*Département Dynamiques Internes et de Surface des Continents (DISCO);
*Département Ecologie, Biodiversité et Fonctionnement des Ecosystèmes Continentaux (ECOBIO);
*Département Océans, climat et ressources (OCEANS);
*Département Santé et sociétés (SAS);
*Département Sociétés et Mondialisation (SOC).
L’un des objectifs de la mission Infrastructures et données numériques (MIDN) de l’IRD est de faire émerger '''une politique institutionnelle''', partagée avec les partenaires du Sud, de '''gestion des données de la recherche''' en accord avec les principes du mouvement de l’open Data et de l’open Science répondant également à l’échange de données vers les dispositifs nationaux et internationaux.
En 2021, l'IRD adopte une [https://www.ird.fr/sites/ird_fr/files/2021-07/5_2_CA2506_Feuille%20de%20route%20pour%20une%20science%20ouverte%20et%20partagée_vf.pdf Feuille de route pour une science ouverte et partagée].
L’IRD dispose '''d'un entrepôt institutionnel de données de recherche''' [[DataSuds]] basé sur le logiciel open source '''Dataverse'''. +
L’Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides, IMCCE, est un institut de recherche de l'Observatoire de Paris, associé au CNRS (UMR8028).
L’IMCCE a deux activités principales : une mission de recherche dans les domaines de la mécanique céleste, sous ses aspects tant mathématiques que dynamiques, de l’astrométrie et de la planétologie et une mission de service consacrée à l’élaboration et à la diffusion d’éphémérides originales, ainsi qu’à la participation à d’autres services nationaux d’observation de l’INSU. +
L’Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot, l’un des neuf instituts de la Direction de la Recherche Fondamentale du CEA. L'institut regroupe les équipes en sciences du vivant du site CEA Paris-Saclay/Saclay. Elles étudient les mécanismes du vivant pour à la fois produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA. +
L’Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris) est un établissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle du ministère chargé de l'environnement.
L’institut a pour mission de contribuer à la prévention des risques que les activités économiques font peser sur la santé, la sécurité des personnes et des biens, et sur l’environnement.
Il développe ses compétences scientifiques et techniques dans les domaines des risques accidentels, des risques chroniques et des risques du sol et du sous-sol. Elles sont mises à la disposition des pouvoirs publics, des entreprises et des collectivités locales afin de les aider à prendre les décisions les plus appropriées à une amélioration de la sécurité environnementale. +
L’Institut national d’études démographiques, Ined est un organisme public de recherche spécialisé dans l’'''étude des populations''', partenaire du monde universitaire et de la recherche au niveau national et à l’international.
L’institut a pour missions d’étudier les populations de la France et des pays étrangers sous tous leurs aspects, de former à la recherche et par la recherche, d’informer les pouvoirs publics et le public sur les questions démographiques et de diffuser les travaux démographiques français à l’international. Par une approche ouverte de la démographie, il mobilise un large éventail de disciplines comme l’économie, l’histoire, la géographie, la sociologie, l’anthropologie, la biologie, l’épidémiologie.
L’Ined '''produit ses propres enquêtes'''. Les données recueillies sont accessibles à l’ensemble de la communauté scientifique. L’institut possède un '''service des enquêtes''', qui définit les plans de sondage, aide à la conception des questionnaires et l’élaboration des protocoles de collecte, redresse les échantillons statistiques. Il assure ensuite la mise à disposition des bases de données anonymisées. Le catalogue des enquêtes de l’Ined et la présentation des projets en cours peuvent être consultés en ligne.
En 2022, l'Ined a adopté une [https://www.ined.fr/fichier/rte/General/Institut/science-ouverte/charte-science-ouverte-ined.pdf Charte pour la Science Ouverte]. +
L’Inventaire National du Patrimoine Naturel, INPN, est un programme d’inventaire pour '''gérer et diffuser des informations de référence''' sur les '''espèces animales et végétales''' actuelles et anciennes, continentales et marines, les '''habitats naturels''', les '''espaces protégés''' et le '''patrimoine géologique''', en métropole et en outre-mer.
Ses objectifs sont :
*d’assurer le développement d’une '''banque nationale de référence sur la biodiversité française''', permettant la mise en cohérence de données d’origines diverses
*de diffuser les données des programmes nationaux de différents types :
** '''espace''' : ZNIEFF, Natura 2000, espaces protégés, inventaire national du patrimoine géologique
**'''répartition''' : inventaires nationaux, inventaires par unité départementale, état de conservation, programmes d’inventaire et de sciences participatives, collections…
**'''statut d’espèce''' : taxonomie, protection et réglementation, menaces (listes rouges…)
*de fournir une information consolidée sur les sujets liés à la conservation de la biodiversité avec des processus de validation robustes : répartition et bases de connaissance (textes sur les espèces et habitats, iconographie…)
*de permettre l’expertise des lacunes et des besoins en matière d’inventaire et de suivi de la biodiversité notamment pour le compte du Ministère de l’écologie
*de faire des synthèses et des communications sur l’évolution de la biodiversité et de la géodiversité
*contribuer aux rapportages nationaux et internationaux (CDDA, INSPIRE, état de conservation directive Habitats…)
Les informations sont issues de nombreux programmes nationaux et de données fournies par un ensemble de partenaires .
L'UMS PatriNat organise leur synthèse, leur validation au titre de sa mission statutaire et assure leur diffusion notamment à travers le site internet. Cette diffusion est respectueuse des producteurs en assurant une traçabilité complète de l’origine des données.
'''[[OpenObs]]''', outil d'interrogation multicritères, permet la visualisation, l'exploration, la validation et le téléchargement de données d'observation d'espèces de l'INPN.
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L’OHM Pyrénées s’intéresse à des territoires de montagne soumis à une forte déprise humaine depuis la deuxième moitié du XXe siècle. Les terrains d’étude recouvrent la haute vallée du Vicdessos en Ariège et les vallées des Gaves dans les Hautes Pyrénées, et s’étendent depuis le cœur des vallées jusqu’aux sommets supérieurs à 3 000 mètres d’altitude. Soumises à une intense pression minière, métallurgique et agropastorale depuis plus d’un millénaire, ces vallées sont aujourd’hui le siège d’un processus d’abandon, marquées par l’arrêt définitif de toute activité industrielle, et de réorientation des pratiques, avec le développement des activités touristiques.
Dans ce contexte, l’OHM étudie, sur la longue durée et avec une vision prospective, à cinq phénomènes influant sur le territoire et l’environnement :
*les dynamiques de la biodiversité dans un environnement en complète mutation et aux prises avec les effets du réchauffement climatique
*l’agro-pastoralisme qui tend à disparaître malgré sa valeur patrimoniale
*l’étalement urbain qui gagne les vallées et introduit de nouvelles dynamiques socio-économiques et culturelles
*la question de la ressource en eau qui est également pourvoyeuse de revenus tirés de l’hydroélectricité, dans un contexte de diminution des apports neigeux et de sécheresses répétées
*l’essor du tourisme et sa relation avec les patrimoines naturels et culturels.
La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Observatoires Hommes-Milieux (OHM) et du LabEx qui les fédère ([[DRIIHM]] - Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux). +
L’OHM-CV, '''Observatoire Hydro-météorologique Méditerranéen Cévennes-Vivarais''', fédère les compétences de chercheurs de disciplines variées (météorologie, hydrologie, géophysique, géographie, mathématiques appliquées, socio-économie, ... ) pour améliorer les connaissances et les capacités de prévision du risque hydro-météorologique associé aux pluies intenses et aux crues éclairs en région méditerranéenne.
Service National d'Observation (SNO) labélisé, le portail donne accès à des données multi-capteur, multi-temporelle, multi-type (précipitation atmosphérique,composition chimique et propriétés physiques des eaux de surface, propriétés des sols) et produits dérivés (DTM, Post-even surveys). +
L’Observatoire Homme-Milieux Vallée du Rhône développe des projets de recherche qui questionnent l'évolution contemporaine du fleuve et sa gestion en lien avec les grands programmes de recherche déjà existants (notamment l’Observatoire des Sédiments du Rhône et le programme RhônEco – suivi scientifique de la restauration hydraulique et écologique du Rhône). Les chercheurs analysent la mise en œuvre opérationnelle d’une gestion durable, via notamment le Plan Rhône, tout en alimentant le débat public et les stratégies de gestion par la production de connaissances sur le fonctionnement socio-écosystémique du fleuve.
La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Observatoires Hommes-Milieux (OHM) et du LabEx qui les fédère ([[DRIIHM]] - Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux). +
L’Observatoire Hommes-Milieux International Nunavik a été créé conjointement par l’Institut Écologie et Environnement du CNRS (CNRS Écologie & Environnement) et le Centre des Études Nordiques (CEN, Québec). Les recherches de l’OHMi sont menées sur un territoire couvrant le tiers nord de la province du Québec à l’Est du Canada, le Nunavik.
Les thématiques de recherche se regroupent en 5 axes prioritaires :
*Le développement industriel, le développement durable et les sources d’énergie renouvelable
*La sécurité et l’autosuffisance alimentaire
*La santé et le bien-être chez les Inuit et leurs liens avec l’environnement
* Les changements climatiques, les risques naturels et les vulnérabilités des utilisateurs des parcs du Nunavik, des lieux protégés et d’intérêts culturels
*Les savoirs traditionnels, le patrimoine, les échanges intergénérationnels et la perception par les Inuit de leur territoire
La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Observatoires Hommes-Milieux (OHM) et du LabEx qui les fédère ([[DRIIHM]] - Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux). +
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L’UMR '''LETG Littoral, Environnement, Télédétection, Géomatique''', rattachée à l’INEE du CNRS, se déploie dans 6 sites de l’Ouest de la France : Angers, Brest, Caen, Dinard, Nantes, Rennes.
Le champ scientifique de l’unité est celui de la '''géographie de l’environnement'''. Grâce à son expertise en géographie humaine, géographie physique et géomatique, le programme scientifique de LETG poursuit l’objectif de contribuer aux connaissances relatives aux interactions nature/société par une démarche modélisatrice et intégratrice qui se situe aux interfaces géographiques terre-mer-atmosphère. +