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G
Le projet GRIF fédère cinq laboratoires de '''physique des hautes énergies''' d’Île-de-France (le Laboratoire AstroParticule et Cosmologie de Paris [http://www.apc.univ-paris7.fr/APC_CS/ APC], le Laboratoire de Physique des 2 Infinis Irène Joliot-Curie [https://www.ijclab.in2p3.fr/ IJCLab], l'Institutut de Recherche sur les lois Fondamentales de l'Univers [http://irfu.cea.fr/ IRFU], le Laboratoire Leprince Ringuet [http://polywww.in2p3.fr/ LLR], le Laboratoire de Physique Nucléaire et de Hautes Energies [http://lpnhe.in2p3.fr/ LPNHE]) autour de '''moyens de calcul et de stockage''' distribués, basés sur la '''technologie des grilles de calcul'''. Ses ressources sont principalement utilisées par les physiciens subatomiques travaillant sur les expériences du '''Large Hadron Collider (LHC)'''. GRIF s'ouvre également à d’autres collaborations de physique des hautes énergies, auxquelles participent les laboratoires impliqués, ainsi qu'à des projets pluridisciplinaires dans le cadre de la '''European Grid Infrastructure (EGI)'''. L'utilisateur n'est pas en lien direct avec le mésocentre : en fonction du projet scientifique auquel il contribue, il rejoint une '''organisation virtuelle (VO)''' qui lui permet d'accéder aux ressources de la grille et de bénéficier de formations et d'un support utilisateurs.  +
I
Le projet IMPRINT vise à quantifier et à modéliser les processus qui relient le microclimat au macroclimat, sur de grandes étendues spatiales et à une résolution spatiotemporelle fine. Ceci, afin de reconstruire le microclimat passé, à partir d’observations issues de postes météo permanents. L’objectif ultime du projet IMPRINT est d’utiliser cette reconstruction à long terme du microclimat sous-couvert forestier pour améliorer la prédiction de la distribution future des espèces, en lien avec le changement climatique.  +
O
Le projet OLKi, Open Language and Knowledge for citizens vise à développer une '''plateforme fédérée pour ouvrir et faciliter la communication scientifique autour de ressources langagières'''. Elle permet de '''partager des ressources scientifiques''' (corpus, articles, vidéos, outils d’analyse, …). La plateforme OLKi s'appuie sur l'initiative citoyenne '''[https://fediverse.network/ Fediverse]''' et prévoit d’ajouter aux ressources qui y existent déjà (musique, blogs, vidéos…) une dimension recherche et connaissances scientifiques. Cette plateforme ambitionne de fluidifier la communication entre les acteurs –chercheurs, fournisseurs de services et citoyens, hébergera et diffusera des ressources scientifiques liées au langage et aux connaissances qui en sont extraites. À terme, au-delà des progrès en termes de contrôle, d’éthique, d’ouverture, de transparence et de respect de la vie privée, la plateforme résoudra des problèmes de nombreuses plateformes scientifiques actuelles, dont la maintenance à long terme, le passage à l’échelle, la réduction des coûts, le contrôle des fournisseurs de données et l’interaction entre recherche et citoyens. OLKi est un logiciel libre et gratuit qui peut être installé sur son propre serveur, exploité et modifié indépendamment. Interopérable, la plateforme utilise des protocoles standards pour assurer la compatibilité entre les serveurs OLKi, les référentiels et outils de publication existants.  +
P
Le projet PARDOQ ('''Partage et protection des données qualitatives à l’ère du numérique''') vise à rendre intelligibles les implications complexes du mouvement d’ouverture des données (open data) pour les sciences humaines et sociales (SHS). PARDOQ s’adresse aux communautés travaillant à partir de données qualitatives et se base sur l’analyse de l’expérience de chercheurs confrontés à la tension entre partage et protection des données qualitatives, en prenant appui sur le cas du programme interdisciplinaire [http://www.parchemins.bzh/ Parchemins] (Paroles et chemins de l'agriculture littorale). D’une durée de 12 mois, PARDOQ poursuit 3 objectifs: * Clarifier les conditions dans lesquelles les données qualitatives peuvent et doivent faire l’objet d’une publication ; * Contribuer à équiper les communautés de recherche sur un plan épistémologique et pratique, pour faciliter le partage de données ; * Mettre en place une animation scientifique permettant le partage et la capitalisation des expériences, en s’appuyant sur les réseaux dédiés au soutien et à l’accompagnement des transitions numériques. Le projet PARDOQ est coordonné par l’unité mixte de recherche [https://www.umr-amure.fr/ AMURE] et soutenu par le [https://www.marsouin.org/ GIS Marsouin].  +
Le projet Pi 4x4 a pour but la conception d'une tablette basée sur un ordinateur Raspberry Pi et ainsi de mettre à disposition des carnets de terrains électroniques afin de remplacer la saisie papier des observations. En 2016 une équipe de gestion du projet s’est formée. Il s’agit de membres de laboratoires du CNRS ainsi que des membres de l’INRAE, l’Ifremer et le Cen-LR. Les compétences des réseaux métiers CNRS [https://resinfo.org/ RESINFO] et [http://rbdd.cnrs.fr/ RBDD] ont permis la réalisation d'un prototype.  +
W
Le projet W'''INTER''', hébergé et exploité par la DGDSI de l'Université Grenoble Alpes (UGA), a pour vocation la '''mise à disposition de machines virtuelles nues''' (c'est à dire sans système d'exploitation). Winter permet de disposer en tant qu'ayant droit : *D'un accès à une interface Web de gestion de l’environnement de virtualisation. *D'un accès à une interface Web de restauration de machine virtuelle.  +
O
Le projet d'ouverture de la mine de Rosemont, au sud de Tucson, initialement prévu en 2014 est l'élément fondateur de l'observatoire Pima County. Cette mine comporte des réserves de cuivre, qui pourront représenter plus de 10% de la production étasunienne, et qui doivent être exploitées avec de nouvelles « techniques environnementales » de traitement et de recyclage de l’eau. Le développement de cette mine sera mis en rapport avec celui d’autres mines de la région, afin de comparer à la fois : *les effets écologiques sur les eaux souterraines, la biodiversité, l’usage de sols, la qualité de l’air, etc. *l’impact sanitaire, économique et social sur les populations voisines (communautés résidentielles, périphéries urbaines en expansion, réserves indiennes). L’objectif est d’éclairer les interactions et leurs dynamiques au cœur des systèmes socio-écologiques et socio-économiques constitués sur l’objet de recherche. La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Observatoires Hommes-Milieux (OHM) et du LabEx qui les fédère ([[DRIIHM]] - Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux).  +
P
Le projet de base de données sur les climats planétaires vise à fournir des outils et des statistiques sur les environnements planétaires dérivés de modèles numériques du climat. Service National d'Observation (SNO) labélisé, Planetary Climates Database propose : *des bases de données des environnements planétaires issues de simulation (Mars, Venus, Titan, Pluton), *Generic Global Climate Model, plateformes de services et d'outils d'analyse statistique et de visualisation  +
G
Le projet de plateforme Galactica vise la mise en place de services d'ingénierie et d'expérimentation scientifique à grande échelle pour le [https://limos.fr/news_project/110 projet PetaSky], [http://dsi-liris-3dvoxel.univ-lyon1.fr/liris/site/site/fullscreen.html accès aux données du projet]. Ce dernier repose sur une approche multidisciplinaire impliquant cinq (5) instituts du CNRS et seize (16) laboratoires de recherches. Galactica se veut comme une plateforme ouverte qui vise trois objectifs majeurs à destination de deux communautés d'utilisateurs : *Fournir des services d'ingénierie et d'expérimentation à grande échelle en appui aux travaux de recherche menés dans le cadre du projet PetaSky. *Mettre à disposition de la communauté de recherche en Science des Données une infrastructure de stockage et de calcul d'envergure, flexible et configurable selon les besoins spécifiques des expérimentations. *Capitaliser sur l'expérience acquise dans le contexte du projet PetaSky, pour constituer et mettre à disposition de la communauté de recherche en Science des Donnés des jeux de grande masse de données et des benchmarks issus du domaine de la cosmologie et de l'astrophysique. Galactica est une infrastructure de calcul composée d’un cluster composé de nœuds de calcul (128 cœurs à 2,40 GHz, 3,8 To de RAM) et de nœuds de stockage (capacité de 143 To).  +
C
Le projet du CEFE vise à comprendre la dynamique, le fonctionnement et l’évolution du vivant, de «la bactérie à l’éléphant », et « du génome à la planète ». Il s’appuie sur trois ambitions : *comprendre le monde vivant pour anticiper ce que sera demain ; *conduire à des innovations et répondre aux attentes de la société ; *pratiquer une science « rassembleuse » et diverse dans ses approches disciplinaires. Les questions de recherche sont posées dans un contexte marqué par la prégnance des changements planétaires, le développement de nouvelles technologies de manipulation du vivant, et l’exigence croissante de la société pour la recherche.  +
Le projet du nouveau '''consortium-HN 3DHN''' s’inscrit dans la dynamique d’évolution du Consortium-HN “3DSHS” dont le mandat s’est terminé en 2023 (2014-2023). Ce dernier avait été créé pour répondre à un besoin croissant d’'''expertise sur les pratiques de la 3D''' en SHS. Ce nouveau consortium repose sur un réseau interdisciplinaire comptant plus de 26 institutions dans les domaines des SHS, de l’informatique graphique et de l’optique. Il a pour objectif de travailler en commun avec les MSHs mais aussi avec les institutions relevant du ministère de la Culture. Durant la période de son mandat (2024-2027), l’objectif de ce nouveau consortium est de devenir un acteur majeur, tant au niveau national qu’international, dans les '''domaines des usages, de la préservation et de la diffusion des données en 3D'''. Il se donne pour missions de : * Mettre en place des '''ateliers''' (XR, recensement des besoins, cycle de vie des données, apparences/matériaux, interopérabilité, annotation, schémas de métadonnées) pour étudier les usages des SHS et de la culture et pour '''proposer des solutions technologiques à ces besoins''', en se basant sur une veille continue pour suivre les évolutions rapides des technologies 3D. * Établir des '''recommandations et des guides''' pour fournir un contenu de référence et des supports de formation, en tenant compte des enjeux liés à la crise environnementale pour plus de sobriété numérique et d’efficacité en ressource. * Consolider l’expérience acquise dans le développement d’infrastructures. * Créer une '''communauté la plus large possible''' pour récolter les besoins et les expériences, en élargissant son réseau et ses supports institutionnels nationaux et internationaux. * '''Former''' les utilisateurs et les supports des utilisateurs à ses recommandations et à ses outils. Le consortium a pour membres : la MSH Val de Loire, l'Inrap, la MAP (UPR), le CIREVE, l'ASM, la MOM, Archeovision, Archéosciences Bordeaux, le Cerema, l'Inria, le LS2N, le LAMPEA, le LP2N, XLIM, le CFV, Trajectoires, Pprime et le CReAAH.  
Le projet d’équipement d’excellence '''CONTINUUM''', '''Continuité Collaborative du Numérique vers l’Humain''', crée une infrastructure de recherche collaborative de 30 plateformes situées dans toute la France, afin de faire progresser la recherche interdisciplinaire entre l’informatique et les sciences humaines et sociales. Le projet regroupe 37 équipes de recherche qui développeront des recherches de pointe axées sur '''la visualisation''', '''l’immersion''', l’interaction et '''la collaboration''', ainsi que sur '''la perception''', '''la cognition''' et '''le comportement humains en réalité virtuelle/augmentée'''. CONTINUUM est organisé selon deux axes : * Recherche interdisciplinaire sur l'interaction, en collaboration entre l'informatique et les sciences humaines et sociales, afin d'accroitre les connaissances et les solutions en matière d'informatique centrée sur l'humain ; * Déploiement d'outils et de services pour répondre aux besoins de nombreux domaines scientifiques en matière d'accès aux grandes données, aux simulations et aux expériences virtuelles/augmentées (mathématiques, physique, biologie, ingénierie, informatique, médecine, psychologie, didactique, histoire, archéologie, sociologie, etc…). Les données validées et décrites sont publiées sur un entrepôt de données http://visionair.ge.imati.cnr.it/ontologies/shapes.  +
B
Le projet et collectif '''Bancariser les Données Ensemble, BED''', porté par le [[eLTER-France RZA|Réseau des Zones Ateliers]] vise à accompagner les Zones Ateliers dans la production de données FAIR. Le projet regroupe des membres des Zones Ateliers (ZA) sur la base du volontariat afin de mettre en œuvre des actions d’amélioration des SI des ZA assurant la bancarisation des données, avec en particulier un focus sur la qualité des données dans les ZA. L’objectif général du projet BED est de favoriser un suivi des données dans le temps et leur réutilisation. Cet objectif se décline en deux sous-objectifs : *assurer l’interopérabilité des SI, à la fois sur le plan national intra/inter-ZA, et international avec une compatibilité ascendante avec les normes et formats de description de données en vigueur. *assurer la traçabilité des données dès le terrain, à travers un système embarqué de taggage numérique des échantillons, et la documentation des protocoles de mesure associés.  +
G
Le projet gFlowiz, porte sur le '''développement d’une application web de géo visualisation de données d’interactions territoriales''' (flux, trafics et mouvements). Son objectif est double. Il vise, d’une part, à '''réaliser un état de l’art des applications du géoweb dédiées aux flux, mouvements et trafics''' ; d’autre part, à proposer via une interface web unique '''un ensemble d’outils d’exploration, d’analyse et de représentations des flux,''' innovants sur les aspects techniques et technologiques et dans une configuration simple facilitant leur appropriation par différents publics (académiques, institutionnels, socio-économiques, scolaires…). Logiciel libre développé sous licence GNU AGPL en collaboration par l'IFSTTAR (Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux) et l'UMR LISST  +
J
Le projet international JUNO (Jiangmen Underground Neutrino Observatory) a pour objectif de construire et d’exploiter '''un détecteur de neutrinos''' qui sera localisé à Jiangmen en Chine (pays coordinateur). Son exploitation est prévue en 2023. JUNO sera un détecteur de neutrinos en forme de sphère utilisant un volume de 20 kilotonnes de liquide scintillateur qui sera lu par plus de 40 000 détecteurs photomultiplicateurs. Enfoui à 700 mètres de profondeur afin d’être protégé des rayonnements cosmiques, ce détecteur se trouvera à égale distance (53 km) des deux centrales nucléaires de Taishan et Yangjiang. JUNO permettra de déterminer '''la hiérarchie de masse des neutrinos''' et la mesure précise des '''paramètres d'oscillation des neutrinos''' afin d’éclaircir le rôle de cette particule dans la description de l’univers primordial. Il aura un impact sur l’étude des neutrinos issus de supernovae, des géo-neutrinos et pour la recherche de neutrinos exotiques. En France, cinq laboratoires de de l’Institut national de physique nucléaire et de physique des particules (CNRS Nucléaire & Particules) participent à ce projet : * l’Institut pluridisciplinaire Hubert Curien (IPHC, CNRS/Université de Strasbourg), * le Centre de physique des particules de Marseille (CPPMM, CNRS/Université d’Aix-Marseille), * le Laboratoire de physique subatomique et des technologies associées (Subatech, IMT Atlantique/CNRS Nucléaire & Particules/Nantes Université), * le laboratoire Leprince Ringuet (LLR, CNRS Nucléaire & Particules/École polytechnique), * le laboratoire AstroParticule et cosmologie (APC, Université de Paris/CNRS/CEA/Observatoire de Paris).  +
C
Le projet régional de '''Datacenter CINAuRA''' ('''Convergence des Infrastructures Numériques du Supérieur en région Auvergne-Rhône-Alpes''') est porté par l’Université Clermont Auvergne, l’Université de Lyon, l’Université Grenoble Alpes et l’Université Savoie Mont Blanc, et financé par un contrat de plan État-région (CPER). Le projet Datacenter CINAuRA comporte trois volets : infrastructure réseau, hébergement et plateformes numériques.  +
O
Le projet scientifique de l'OHM Littoral méditerranéen est l’étude de l’urbanisation et de l’anthropisation côtière en Méditerranée. Dans un contexte de changement des modes de gestion du littoral (GIZC), il s’intéresse à quatre systèmes socio-écologiques littoraux inégalement soumis à l’artificialisation et aux fréquentations touristiques et récréatives : le littoral marseillais, le Golfe d’Aigues-Mortes et les rivages corses de Balagne et du sud Bastia. La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Observatoires Hommes-Milieux (OHM) et du LabEx qui les fédère ([[DRIIHM]] - Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux).  +
M
Le projet scientifique de la Maison des Sciences de l'Homme Sud est bâti au croisement entre sciences humaines et sociales (SHS) et sciences de la nature et des techniques dans le but de questionner les modes de développement de nos sociétés. Son ambition repose sur un concept de co-construction de dispositifs de recherche participatifs associant chercheurs, acteurs de terrain et citoyens. La MSH Sud de Montpellier est ouverte à tous les chercheurs du site académique Languedoc-Roussillon, toutes disciplines confondues. Son périmètre interdisciplinaire s'appuie sur une démarche visant à fédérer toutes les sciences dont les applications produisent des effets sur l'Homme, les sociétés et leur environnement. La MSH SUD héberge une plateforme avancée, labellisée « AudioVisio » par le Réseau national des MSH (RnMSH) : [http://www.mshsud.tv/ MSHSUD.TV], plateforme technico-méthodologique de réalisation de supports audiovisuels et de diffusion de la recherche. Cinq plateformes mutualisées internes à la MSH SUD sont en cours de développement : [http://numerev.com/ NumeRev], incubateur scientifique numérique et portail interdisciplinaire de ressources en ligne, vecteur de science ouverte; [https://www.mshsud.org/programmes/plateformes-services/hut HUT], HUman at home projecT, projet d'appartement observatoire; [http://www.cogithon.org/ COGITHON], plateforme d'émergence de projets en SHS centrée sur les interactions Homme/Environnement pour l'adaptation de l'homme en situation de handicap cognitif; [https://www.mshsud.org/programmes/plateformes-services/platem PLATEM], projet de plateforme d'appui à la recherche et laboratoire critique et réflexif dédiés au recueil et à la contextualisation de la parole des acteurs, [https://www.mshsud.org/recherche/plateformes/ceps CEPS]; Plateforme universitaire collaborative dédiée au développement de la recherche interdisciplinaire sur les interventions non médicamenteuses (INM) .  +
D
Le pôle '''Données et Humanités numériques (DHUNE) de la MSH Mondes''' accompagne les communautés de recherche en sciences humaines et sociales des universités Paris Nanterre et Paris 1 Panthéon-Sorbonne dans le volet numérique de leur activité et projets et dans '''la gestion, le traitement et l’ouverture de leurs données numériques'''. Il est le point d’entrée unique pour les services des IR* Huma-Num et Progedo (Plateforme universitaire de données – PUDN). Il contribue à la définition et au déploiement de la stratégie de développement et de valorisation numérique de la MSH Mondes et soutient la recherche et l’innovation dans son périmètre. == Offre de service == * Conseil et accompagnement * Relais locaux des IR* Huma-Num et Progedo, il facilite l’accès aux ressources et services de ces infrastructures. * Soutien aux projets de recherche : DHUNE offre un '''accompagnement méthodologique pour la production, la gestion, l’analyse et l’exposition des données'''. Il appuie les équipes de recherche dans la prise en main des outils de gestion de données, d’exploration de corpus, de traitement statistique, de rédaction scientifique, de création et de publication de contenus. Le service propose également une aide à la rédaction du plan de gestion de données et au montage de projets, particulièrement sur le volet Science ouverte. * Formation et événements == Atelier de la donnée - ADN == *Le pôle DHUNE est partie prenante de l’[[ADN : Accompagnement de la Donnée à et avec Nanterre|Atelier de la donnée de l’université Paris Nanterre]], il participe à son pilotage comme à son offre d’appui.  +
I
Le pôle Données d’Inria a pour mission d’accompagner les scientifiques et équipes de recherche Inria sur toutes les questions liées aux données de recherche.<br> Les principales missions de ce pôle sont : * l’accompagnement à la rédaction des plans de gestion de données, * l’accompagnement au dépôt, partage et diffusion des données * l’accompagnement à l’ouverture des codes sources et logiciels * l’animation du réseau des référents aux données de la recherche composé d’un représentant scientifique pour chaque centre de recherche Inria.<br> Depuis mars 2023, Inria dispose d’un espace institutionnel sur l’entrepôt Recherche Data Gouv destiné aux communautés de recherche qui ne disposent pas d’entrepôt disciplinaire reconnu. Les membres du pôle Données sont également impliqués dans les différents ateliers de la donnée locaux en lien avec l’écosystème Recherche Data Gouv national.  +