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C
Le Département '''Calcul intensif''' du CINES (Centre Informatique National de l'Enseignement Supérieur) fait partie des '''centres nationaux de calcul''' avec l’[http://www.idris.fr/ IDRIS] du CNRS et le [http://www-hpc.cea.fr/fr/complexe/tgcc.htm TGCC] du CEA coordonnés par le [https://www.genci.fr/fr GENCI] (Grand équipement national de calcul intensif). Les demandes d'allocations d'heures se font via le [https://www.edari.fr/ portail DARI]. Le Département Calcul intensif (DCI) du CINES héberge et administre '''le supercalculateur Adastra''' à architecture parallèle qui permet d’effectuer des simulations numériques en modélisant des situations physiques complexes dans de nombreux domaines (mécanique des fluides, physique, chimie, biologie, climatologie, astrophysique, environnement, etc…). Le DCI fournit l’expertise informatique. Il a également pour mission de former aux techniques de '''calcul parallèle''', de conseiller et d’aider les chercheurs pour la parallélisation et l’optimisation des codes. Les utilisateurs disposent d'espaces de stockage répondant au besoin de sécurisation de leurs données. Le Département Calcul intensif du CINES participe aux projets [https://prace-ri.eu/ PRACE] (Partnership for Advanced Computing in Europe) et [https://www.phidias-hpc.eu/ PHIDIAS] (Prototype of HPC/Data Infrastructure for On-demand Services).  +
S
Le GANIL (Grand '''Accélérateur National d’Ions Lourds''') met en place une nouvelle installation SPIRAL2 (Système de production d’'''Ions Radioactifs''' en Ligne de 2e génération).SPIRAL2 fournira prochainement ses premiers faisceaux pour répondre aux chercheurs en '''physique nucléaire''' qui s’intéressent aux '''propriétés des noyaux exotiques''' et des réactions induites. SPIRAL2 est composé d’un accélérateur linéaire (LINAC) et de 3 nouvelles salles (NFS, S3, DESIR) : * le LINAC (LINear ACcelerator) est capable d’accélérer des '''particules légères''' (protons, deutons, hélium) et des ions lourds jusqu’au nickel, à des intensités 10 fois plus grandes que celles disponibles aujourd’hui, * la salle NFS (Neutrons For Science) qui délivrera '''un faisceau de neutrons''' d’énergie jusqu’à 40 MeV (généré par l’accélération des protons et des deutons) pour des expériences de physique nucléaire et des recherches appliquées (énergie, électronique…), * la salle S3 (Super Separator Spectrometer) permettra d’identifier les noyaux très exotiques (isotopes très lourds qui n’existent pas naturellement sur Terre) issus de la fusion des noyaux des ions accélérés par le LINAC avec ceux d’une cible de matière. L’objectif est d’exploiter les faisceaux stables de très hautes énergies et d’étudier les propriétés des noyaux lourds, * la salle d’expériences DESIR (Désintégration, Excitation et Stockage d'Ions Radioactifs) exploitera les faisceaux d'ions radioactifs de très basse énergie issus de l'installation S3 de SPIRAL2, de l'installation SPIRAL1 du GANIL afin d’étudier '''les propriétés fondamentales des noyaux''' (masse, forme, modes de décroissance, structure) et la physique de l'interaction faible responsable de la radioactivité bêta. Les chercheurs pourront bénéficier de toute l’infrastructure existante avec ses ensembles de détection, d’acquisition et de traitement des données. Les données produites par l’infrastructure GANIL-SPIRAL2 sont soumises à un plan de gestion des données. Chaque jeu de données disposent d’un identifiant unique (DOI). Les données sont sous embargo pendant 3 ans avant mise à disposition à la demande.  
G
Le GBIF (Global Biodiversity Information Facility) est un système mondial d''''information sur la biodiversité'''. Consortium international, le GBIF est un programme qui tente de rassembler et développer l’accès libre et gratuit aux données primaires sur la biodiversité : spécimens biologiques détenus à travers le monde dans les collections, et observations sur les organismes vivants effectuées sur le terrain. Pour ce faire, le GBIF offre un moteur de recherche portant sur des bases de données connectées au GBIF de manière standardisée. Les possesseurs de données peuvent connecter tout ou partie de leurs ressources au GBIF, afin de les rendre visibles et interopérables, mais restent maîtres de leurs données, qu’ils continuent à héberger et à utiliser dans le cadre de leur travail. Point nodal français, le '''GBIF France''', a vocation de rassembler toutes les données primaires sur la biodiversité hébergées en France, que celles-ci concernent la biodiversité du territoire français ou du reste du monde. De même, des données de collection et d'observation concernant la France mais hébergées dans d'autres pays seront sous la responsabilité des points nodaux de ces pays détenteurs de l'information. L'équipe du point nodal français du GBIF donne aux fournisseurs de données toute l'assistance dont ils peuvent avoir besoin, et peut être contactée afin d'aider à la mise en ligne de données.  +
Le GIS Grid’5000 a été créé en 2012 pour pérenniser cette infrastructure de recherche dédiée à l’expérimentation en informatique distribuée pour la communauté scientifique française. Les membres fondateurs du GIS Grid’5000 sont le CNRS, l’Inria, le CEA, la CDEFI, France Universités, l’IMT et Renater. Grid’5000 est une plateforme de recherche expérimentale répartie sur 8 sites français (Lille, Nancy, Lyon, Grenoble, Sophia Antipolis, Nantes et Rennes, Toulouse) et un site au Luxembourg. Elle est issue du programme « Action Concertée Incitative GRID » (Globalisation des Ressources Informatiques et des Données) du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche en 2003, l’objectif étant de créer un instrument permettant l’expérimentation dans des conditions réelles à grande échelle.  +
S
Le GTSO-Couperin, '''Groupe de Travail Science Ouverte du consortium Couperin''' construit et met à jour le site '''[https://scienceouverte.couperin.org/ Science ouverte France]''' avec pour objectif d’'''informer les chercheurs sur l’open access'''. Le site propose des pages d’information sur l’'''accès ouvert''', les '''données de la recherche''', une boîte à outils, une FAQ et un service de questions/réponses.  +
G
Le Gis‐GenoToul coordonne les plateformes toulousaines en sciences du vivant (biologie, santé, agronomie, environnement…, permettant d’étudier les approches allant de la molécule aux populations. GenoToul développe une offre de service à destination des entreprises comme des laboratoires académiques. Les plateformes et centres de ressources sont majoritairement labellisés IBiSA et certifiés ISO 9001.  +
Le Grand Accélérateur National d’Ions Lourds (GANIL) est un Groupement d’Intérêt Economique (GIE) créé par le CEA et le CNRS en 1976. Le GANIL est un laboratoire de recherche fondamentale et appliquée en physique nucléaire, physique atomique et physique de la matière condensée ainsi que dans des domaines pluridisciplinaires (radiothérapie, physique des matériaux…). Il fournit plusieurs faisceaux d’ions accélérés (carbone à l’uranium) à l’aide de plusieurs cyclotrons en cascade afin de permettre en particulier la création et l’accélération de noyaux exotiques. Le GANIL est organisé de la manière suivante : le groupe physique, le secteur des accélérateurs, le secteur des techniques de la physique et le secteur SPIRAL2. Les caractéristiques uniques des faisceaux d’ions du GANIL ainsi que les expertises scientifiques et techniques sont valorisés par des partenariats avec des industriels (aérospatial, médical, pharmaceutique, agroalimentaire, électronique...). Le GANIL a des collaborations avec les laboratoires de physique nucléaire en Europe, en Asie et en Amérique qui se sont intensifiées avec la construction de l'accélérateur SPIRAL2 et des détecteurs associés.  +
Le Groupe de Recherche de Géodésie Spatiale, GRGS, est un groupement scientifique qui fédère en France des équipes de recherche appartenant à 11 institutions nationales ayant des activités en géodésie spatiale : Bureau des Longitudes, CNES, IGN,Obs. Paris, CNRS, OCA, Shom, OMP, Université de la Polynésie française, CNAM, EOST.  +
Le Géoportail est une plateforme nationale de diffusion des données d'information géographique de référence couvertes par la directive INSPIRE. Mis en œuvre par l’IGN, il a pour vocation de '''faciliter l’accès à l’information géographique de référence'''. Construit dans une logique d’ouverture et d’interopérabilité des données, il est régulièrement enrichi de nouvelles données publiques. Il permet de visualiser en 2D et en 3D l’information géographique de référence ('''fonds cartographiques et photographiques''') ainsi que les informations géolocalisées superposables à ces fonds et présentant un intérêt public. On y retrouve les '''données géographiques numériques de l’IGN''' (photos aériennes, cartes à toute échelle, représentations des bâtiments et du parcellaire cadastral, hydrographie, altitude, réseaux, limites administratives, noms de lieux, etc.) mais également de nombreuses données publiques (sites protégés, occupation du sol, géologie, description du littoral, zones urbaines, zones à risque, patrimoine naturel…) produites par des [https://www.geoportail.gouv.fr/producteurs acteurs de référence]. Reposant sur l'infrastructure du Géoportail, l'IGN propose une offre de services les [http://professionnels.ign.fr/geoservices Géoservices]. Ces services en ligne permettent de consulter et exploiter les données géographiques, mais aussi construire ses propres services autour de ces données. Ces services répondent à la fois aux besoins des professionnels et des particuliers, des acteurs publics et privés… Ils permettent l’intégration et la mise en œuvre de l’information géographique et forestière.  +
J
Le Jardin du Lautaret (anciennement Station alpine Joseph Fourier) est une structure collaborative de l’Université Grenoble Alpes et du CNRS. Elle déploie ses activités : *au col du Lautaret : Jardin botanique alpin, Chalet-laboratoire et Galerie de l’Alpe *et sur le campus de Grenoble : arboretum Robert Ruffier-Lanche et serres en cours de construction Ses missions concernent : *le développement de plateformes de recherche, *l’entretien de collections botaniques, *la formation des étudiants *la vulgarisation scientifique auprès du grand public. Située à 2100 mètres d’altitude, les plateformes expérimentales du '''[https://www.jardinalpindulautaret.fr/ Lautaret ]''' correspondent à un ensemble d’infrastructures (Prairies naturelles, jardin expérimental, nurserie, laboratoires et serres climatisées) permettant l’étude des écosystèmes prairiaux alpins selon des thématiques variées (écologie, physiologie, sols, eau, neige, physique et atmosphère, géologie, paysages, sciences humaines...). Les stations de mesures et de nombreux capteurs répartis sur un vaste territoire de 300 km2 autour du Lautaret-Galibier, permettent de fournir aux scientifiques des informations sur les écosystèmes de montagne. Ces données sont partageables sans restriction, à la demande. La plateforme met à disposition des scientifiques les services suivants : *Un service d’expérimentation in situ sur les écosystèmes ; *Une instrumentation pour le suivi à long terme de ces écosystèmes et la mesure in situ des paramètres environnementaux ; *Des dispositifs et outils pour la collecte d’échantillons et de données sur les écosystèmes étudiés. Ces plateformes font partie de l'infrastructure [[AnaEE-France]]. La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Stations d’écologie expérimentales et leur réseau [[RéNSEE]].  
L
Le LARHRA, '''Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes''', est spécialisé en histoire et en histoire de l'art, pour les périodes moderne et contemporaine. Le LARHRA se donne pour objet l’élaboration d’une histoire sociale centrée sur les acteurs, prenant en compte toutes les dimensions du social, des mécanismes du marché aux représentations. Ses locaux sont situés à Lyon et Grenoble. Le LARHRA a mis en place un '''Axe de Recherche en Histoire Numérique (ARHN)''' qui entend renouveler la dynamique d’innovation méthodologique en histoire numérique en mettant désormais l’accent sur la recherche personnelle des membres du LARHRA avec un '''outillage numérique et en méthodologie numérique appliquée à la recherche en sciences historiques''', autour d’une question centrale : comment acquérir les compétences méthodologiques nécessaires permettant de faire de la recherche en sciences historiques dans le nouveau contexte de la révolution numérique ? En utilisant les outils mis à disposition par l’ARHN, dont l’application de gestion des ontologies OntoME, et l’environnement virtuel de recherche Geovistory, les participants s’inscriront ainsi dans le contexte des données ouvertes et liées.  +
Le LBBE, Laboratoire de Biométrie et Biologie Évolutive est un laboratoire associant la modélisation mathématique et informatique a des questionnements en écologie évolutive, génomique et santé. Le LBBE comprend 13 équipes groupées en 3 départements et trois pôles de soutien à la recherche. Les points fondateurs sont la très forte composante méthodologique en modélisation du vivant (y compris humain) et des approches tant mathématique qu’informatique et bioinformatique au profit d'une recherche dans une perspective évolutive pour répondre à des questionnements à l'interface "Génomique-Ecologie-Santé".  +
Le LEGOS, '''Laboratoire d’Etudes en Géophysique et Océanographie Spatiales''', est l’Unité Mixte de Recherche UMR5566, placée sous les tutelles du CNES, du CNRS, de l'IRD, et de l'Université de Toulouse au sein de l' Observatoire Midi-Pyrénées, à Toulouse. Le champ scientifique de recherche et d'enseignement du LEGOS inclut l’océanographie et le cycle de l’eau au sens large, avec la physique des composantes océanique, hydrologique, cryosphérique et atmosphérique, dont ses composantes côtières d’une part et climatique d’autre part, ainsi que la biogéochimie et la géochimie marines. Les services d'observations du LEGOS composent avec le [[SEDOO]] le centre de données in situ OMP du Pôle Océan [[ODATIS]].  +
G
Le LabEx DRIIHM, Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux regroupe les Observatoires Hommes-Milieux (OHM). Ce dispositif développe et consolide les mutualisations des ressources, des compétences, des expériences et des réflexions. Il a vocation à assurer la conservation sur le long terme des résultats des travaux réalisés par l'ensemble de la communauté, en données ou métadonnées, en promouvant notamment l'harmonisation des pratiques liées à leur conservation tout en garantissant leur pérennité au niveau central et leur disponibilité. Le LabEx DRIIHM propose un '''portail au sein de [[Cat.InDoRES]]''', géocatalogue mutualisé contenant les métadonnées du LabEx DRIIHM et ses OHM et des Zones Ateliers. '''Le portail LabEx DRIIHM regroupe sous forme de sous-portails les catalogues des OHM'''. Il permet d'afficher les données cartographiques éventuellement associées aux fiches de métadonnées et d'interroger les données cartographiques. Le portail du LabEx DRIIHM contenait plus de 800 fiches début 2024. La [https://www.inee.cnrs.fr/fr/politique-des-donnees-des-dispositifs-et-infrastructures-de-linee politique des données des dispositifs et infrastructures de CNRS Écologie & Environnement] s’applique aux données produites dans le cadre des Observatoires Hommes-Milieux (OHM) et du LabEx qui les fédère ([[DRIIHM]] - Dispositif de Recherche Interdisciplinaire sur les Interactions Hommes-Milieux).  +
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Le Labex Who Am I? est un projet interdisciplinaire, regroupant des équipes de biologistes, physiciens, psychanalystes, historiens et philosophes des sciences autour de la question centrale de l’identité. L'objectif du labex est d'explorer les déterminants de l’identité à diverses échelles (chimique, moléculaire, cellulaire et sociale) par des approches collaboratives.  +
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Le Laboratoire '''Savoirs, textes, langage''' ('''STL''') réunit '''des linguistes, des philologues, des philosophes et des historiens des sciences autour de la question du sens'''. Les recherches portent ainsi sur la construction du sens dans le langage et dans l'apprentissage des langues (étudiées également dans leur évolution), son élaboration dans les discours et l’argumentation, son interprétation dans les textes et leurs traductions, sa production et sa normalisation dans les savoirs et les institutions, son invention dans les arts et la littérature. Le laboratoire STL est organisé en trois champs : * Forme, sens et contexte * Savoirs, œuvres, discours * Normes, pratiques, création.  +
T
Le Laboratoire '''Trajectoires. De la sédentarisation à l'État''' mène des recherches sur '''les trajectoires historiques des sociétés depuis le début de leur sédentarisation jusqu’à l’émergence des premiers États''' ('''VIIème-Ier millénaires avant notre ère'''). La chronologie couverte comprend la fin du Mésolithique, le Néolithique, le Chalcolithique, l’Age du Bronze, l’Age du Fer, voire des explorations dans le XXème siècle. L’objectif est de collecter, d’élaborer, d’analyser les données pour décrire et comprendre les grandes évolutions observées à l’échelle de l’histoire : apparition de l’agriculture, sédentarisation, hiérarchisation sociale, mobilités, colonisations, émergence des principautés et des royaumes. Thèmes de recherche du Laboratoire Trajectoires. De la sédentarisation à l'État : * Économie et interactions entre sociétés et environnement * Espaces, territorialité et mobilité * Temps, communication et identité.  +
L
Le Laboratoire d'Informatique, de Modélisation et d'Optimisation des Systèmes (LIMOS) est une Unité Mixte de Recherche en informatique et en Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (STIC). Le LIMOS est structuré autour de 3 axes scientifiques : * Axe MAAD (Modèles et Algorithmes de l’Aide à la Décision) : l’axe s'intéresse à des aspects fondamentaux et appliqués de problèmes de décisions réels issus de divers domaines applicatifs. Les travaux portent sur la modélisation, l'algorithmique et l'analyse mathématique de problèmes d'optimisation, de diagnostics et d'apprentissage; * Axe SIC (Systèmes d’Information et de Communication) : l’axe s’intéresse à des problèmes de communication et d’acquisition de données à travers les réseaux de capteurs sans fil, à la gestion et à l’analyse de grandes masses de données ainsi qu’à l’interopérabilité des applications (données et programmes); * Axe ODPL (Outils Décisionnels pour la Production et la Logistique) : les activités visent à exporter les outils et méthodes de l’Optimisation Combinatoire et de la Simulation à Evènements Discrets en direction de systèmes organisationnels réels, liés à la production de biens, à la logistique, aux systèmes hospitaliers ou aux transports.  +
Le Laboratoire d'Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier, LIRMM, est une unité mixte de recherche, dépendant conjointement de l'Université Montpellier et du Centre National de la Recherche Scientifique. Il est situé sur le Campus Saint-Priest de l'UM. Ses activités de recherche positionnent pleinement le LIRMM au coeur des sciences et technologies de l’information, de la communication et des systèmes. Ainsi, de l’information aux systèmes, de la technologie à l’humain et aux usages, les activités de recherche du LIRMM concernent : la conception et la vérification de systèmes intégrés, mobiles, communicants, la modélisation de systèmes complexes à base d'agents, les études en algorithmique, bioinformatique, interactions homme-machine, robotique,etc.  +
Le Laboratoire d'Océanographie Physique et Spatiale, LOPS, est une unité mixte de recherche (UBO, CNRS, IRD, Ifremer). Son objet d'étude est l'océan en mouvement. Les observations et études portent sur les mouvements océaniques, leurs lien avec l'atmosphère, le plancher océanique et le littoral, et leurs influence sur la vie dans les océans... Les personnels du LOPS contribuent à une meilleure connaissance, compréhension et prévision des dynamiques océaniques, traçant leurs évolutions sur quelques jours ou des décennies. Ce travail passe par le développement de méthodes de mesure par satellite ou aéroportées, la réalisation de campagne à la mer, l'analyse théorique et la simulation numérique.  +