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O
Le '''service Partage des données OPIDoR''' - '''Optimiser le Partage et l’Interopérabilité des Données de la Recherche''' - met ses connaissances et ses compétences à la disposition des chercheurs, laboratoires, groupements ou équipes de recherche de l’ESR. OPIDoR propose '''des services et outils pour faciliter la gestion, le partage, la diffusion des données issues de travaux de recherche, ainsi qu’un accompagnement personnalisé''' afin de répondre au mieux aux critères d’intégrité et de reproductibilité et '''tendre vers les principes FAIR'''.
OPIDoR met à disposition de la communauté scientifique :
* [[DMP OPIDoR]] : un outil d’aide à la création en ligne de plans de gestion de données (Data Management Plan ou DMP) ;
* Cat OPIDoR : un catalogue qui recense et décrit les services français qui contribuent à la gestion, au partage et la réutilisation des données scientifiques tout au long de leur cycle de vie ;
* [[PID OPIDoR]] : service d’attribution d’identifiant pérenne DOI (Digital object identifier) de DataCite pour les données de recherche.
'''Centre de ressources OPIDoR de Recherche Data Gouv''', il offre à l’ensemble de la communauté de l’enseignement supérieur et de la recherche des outils et services nationaux pour la gestion des données. De plus, il accompagne les centres de référence thématiques dans le développement de la déclinaison thématique des outils de création de plan de gestion de données. +
L
Le '''service Soutien à la recherche du LADYSS''', Laboratoire Dynamiques sociales et recomposition des espaces, met en place '''la politique de gestion des données scientifiques produites au sein du laboratoire''' en menant des actions :
* Accompagnement des chercheurs tout au long du cycle de vie des données de recherche (gestion, description, préservation, stockage et archivage) lors de '''la rédaction du plan de gestion de données'''
* Aide à '''la mise en conformité des données collectées au Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD)''' en lien avec le Délégué à la Protection des Données (DPO).
Les projets de recherche au LADYSS concernent les pratiques, les opinions, les valeurs et la santé des personnes ce qui implique des données à caractère personnel et des données sensibles. +
H
Le '''service [https://documentation.huma-num.fr/humanum-box/ Huma-Num Box]''' proposé par l''''[[Huma-Num|IR* Huma-Num]]''' est un '''service de stockage sécurisé''' pour la préservation de volumes importants de données (plusieurs tera-octets), par réplication et distribution sur plusieurs sites en France.
Il s’agit d’un service de stockage qui s’utilise comme un disque réseau ou via le protocole SFTP (avec un client comme Filezilla).
Il est accessible depuis tout Internet, indépendamment de la présence ou non d’un serveur du dispositif sur son site géographique.
Il est destiné aux données dites froides ou tièdes, qui ne sont pas fréquemment accédées.
C’est un premier niveau d’archivage sécurisé et fermé. +
U
Le '''service commun de la documentation''' de l'Université de Nîmes Verne propose un '''accompagnement à la rédaction de plan de gestion de données''' (PGD). +
A
Le '''service des "Archives diplomatiques"''' met en ligne ses pages de recherche et de consultation des '''inventaires et des archives numérisées'''.
Plus de '''2 millions de documents numérisés''', fruit des programmes de numérisation conduits par les Archives diplomatiques, peuvent être consultés à distance, téléchargés, partagés.
Un moteur de recherche permet d’accéder facilement au '''corpus d’inventaires''', clés d’accès aux quelque 110 kilomètres de documents consultables dans les centres des Archives diplomatiques de La Courneuve et de Nantes.
Pensé pour répondre aux besoins des chercheurs mais aussi de tous les usagers des archives diplomatiques, le site offre la possibilité de créer un espace personnel et permet de préparer aisément, à distance, une visite en salle de lecture. +
H
Le '''service d’observation H+, Réseau National de sites Hydrogéologiques''', a trois missions principales :
La première mission de l’observatoire H+, est de maintenir et de coordonner un réseau de sites expérimentaux capables de fournir des données pertinentes, y compris des chroniques ou expériences long terme, pour la compréhension du cycle de l’eau et des éléments transportés dans les aquifères.
Le couplage mesures / théories / modèles est une mission fondamentale de l’observatoire H+. L’observatoire a pour vocation de créer un lien pérenne entre les équipes de recherche intéressées par les aspects théoriques, numériques ou expérimentaux des transferts en milieu hétérogène.
L’observatoire H+ a enfin pour mission d’établir un partenariat entre la recherche fondamentale, la formation initiale et continue, et l’expertise : bureaux d’études, régie de l’eau, ...
Plateforme de services et de données, Service National d'Observation (SNO) labélisé, H+ propose : *Bases de données multi-source, multi-temporelle et multi-type des systèmes hydrologiques.
*Produits dérivés.
*Catalogue de métadonnées.
*Outils d'analyse et de visualisation des données. +
M
Le '''service informatique de la MSH''' offre des services liés à l’infrastructure (salles équipées, sécurisation des réseaux, maintenance du matériel…) et à l’'''aide à la gestion de données en faveur des laboratoires'''.
Un panel de services et serveurs applicatifs adaptés aux outils de travail spécifiques sont déployés au sein de la MSH pour permettre aux chercheurs le '''stockage et l’exploitation des données de la recherche'''.
Un intranet centralisant les informations et l’accès aux ressources permet aux collaborateurs des laboratoires de '''stocker, sauvegarder et échanger leurs données de façon sécurisée'''.
L'offre de services en matière de gestion des données permet de mettre en place un process pour valoriser, stocker, pérenniser et diffuser le travail des chercheurs. Ce process est en cohérence avec les ressources locales (matérielles et humaines) et l'infrastructure nationale [[Huma-Num]]. La '''valorisation des données''' est faite au travers de sites web, puis d'un travail sur les '''méta-données'''.
Le stockage et la pérennisation sont réalisés sur une infrastructure locale mutualisée ([[CRRI]]). +
S
Le '''service interministériel des Archives de France (SIAF)''' est un des services composant la direction générale des patrimoines et de l'architecture (avec les musées, le patrimoine et l’architecture).
Il d'''éfinit, coordonne et évalue l'action de l'État en matière d’archives''', à l'exception de celles relevant du ministère des Armées et du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères qui disposent d’une autonomie dans ce domaine.
Ainsi, il définit, '''coordonne et évalue l'action de l’État en matière de collecte, de conservation, de communication et de mise en valeur des archives publiques à des fins administratives, civiques, scientifiques et culturelles'''. +
Le '''service national d’observation SKATE''' a pour objet de servir le très fort intérêt manifesté par la communauté scientifique française pour SKA1 et de tirer parti des investissements de la communauté française dans les « éclaireurs » de SKA, en développant dans un même cadre les tâches de service qui préparent SKA, et celles qui concernent ses précurseurs et éclaireurs, principalement LOFAR et NenuFAR, tout en favorisant les synergies et en mettant en valeur les tâches transverses.
SKATE fournit un '''cadre commun pour le développement de l’instrumentation, la formation et le support à la communauté, ainsi que le développement des outils pour SKA1 et le SRC européen qui constitueront des contributions françaises à SKA1 et au SRC'''.
Les tâches de service de SKATE sont groupées en six catégories :
* Le développement d’instrumentation pour NenuFAR et SKA1.
* La gestion de la station FR606 de LOFAR, de NenuFAR, la gouvernance de la contribution française à LOFAR et la gouvernance SKA-France.
* L’opération des stations d’observation : FR606 et NenuFAR.
* Le support aux utilisateurs pour FR606, LOFAR, NenuFAR et les autres éclaireurs ainsi que la définition du soutien à apporter aux utilisateurs de SKA notamment dans le cadre du futur SKA Regional Center européen.
* La '''mise à disposition des données de FR606 en mode local et de NenuFAR (contrôle qualité, archivage, accès)''' et la préparation de la participation française au SKA Regional Center.
* Le '''développement d’outils algorithmiques et méthodologiques''' pour SKA et ses éclaireurs ainsi que pour le SKA Regional Center européen. +
Le '''site Science ouverte du CNRS''' présente le mouvement de la science ouverte, les services en faveur de la mutualisation des connaissances et du libre accès à la production scientifique, les actions de formation en information scientifique et technique (IST), les publications de la Direction des Données Ouvertes de la Recherche DDOR du CNRS, les actions et acteurs du CNRS en matière de science ouverte et les événements dédiés. +
P
Le '''site expérimental de Puéchabon''' est un '''site naturel fortement instrumenté et dédié à l’étude de tous les aspects de l’écologie fonctionnelle d’un écosystème forestier méditerranéen soumis aux changements climatiques'''. Les principales thématiques de recherche abordées concernent le fonctionnement biogéochimique de l’écosystème, l’écophysiologie des arbres, la gestion forestière, et la biodiversité. Le site de Puéchabon est situé dans une forêt de chêne vert de l’Hérault à proximité de Montpellier, et il est caractéristique des taillis méditerranéens sempervirents et soumis à des sécheresses récurrentes.
Ce site expérimental doit son intérêt scientifique unique à la co-localisation de différents équipements et expérimentations à long-terme :
*Une tour de mesure des flux d’eau et de carbone par corrélations turbulentes
*Une expérience d’exclusion de pluie à long-terme
*Une exclusion de pluie par toit mobile
*Une expérience de gestion sylvicole
Le site met à disposition des scientifiques les services suivants :
*l’accès aux parcelles de manipulation de la ressource en eau (exclusion de pluie, irrigation), pour des mesures in situ sur les plantes et le sol ;
*une instrumentation pour le suivi à long terme de ces écosystèmes et la mesure in situ des variables environnementales. +
U
Le '''site web [http://scienceouverte.univ-lorraine.fr/ Science ouverte de l’Université de Lorraine]''' présente les engagements et les réalisations en faveur de l’accès ouvert aux publications scientifiques et aux données de la recherche produites par l’établissement avec un objectif : l’'''accompagnement des chercheurs dans un environnement sécurisé'''.
Des services sont proposés aux chercheurs dans le cadre du '''dépôt dans l’archive institutionnelle de l’Université de Lorraine''' [https://hal.univ-lorraine.fr/ HAL-UL], de la '''rédaction d’un plan de gestion de données''', pour '''publier en open access''' et une '''[http://scienceouverte.univ-lorraine.fr/boite-a-outils/ boîte à outils]''' permettant aux utilisateurs de retrouver des ressources utiles relatives à la Science Ouverte en Lorraine. Il est possible de la consulter la boîte à outils par domaine (données, publications, logiciels…), par type de ressource (fiche pratique, guide…) et par origine.
'''[http://scienceouverte.univ-lorraine.fr/barometre-lorrain-de-la-science-ouverte/ Le Baromètre lorrain de la Science Ouverte]''' est l’outil de pilotage de l’Université de Lorraine pour suivre la croissance de la Science ouverte au sein de sa production scientifique. Il se base sur le [https://ministeresuprecherche.github.io/bso/ Baromètre français de la Science Ouverte] du MESR dont les '''données et le code sont librement réutilisables'''. +
T
Le '''thésaurus INRAE''' s’inscrit dans la démarche Science Ouverte de l’institut et la mise en œuvre des principes FAIR : il doit permettre de rendre les productions de l’institut plus faciles à trouver et améliorer leur interopérabilité sémantique. Il constitue un '''référentiel''' au sein de l’institut pour indexer et annoter des documents, pages web, descriptions d’activités, jeux de données, à des fins de recherche ou d’analyse de l’information.
Le thésaurus INRAE propose :
*'''des termes en anglais et en français''' pour les concepts des domaines et objets d’intérêt d’INRAE.
*'''des synonymes''' : un concept peut regrouper des termes de sens équivalent
*'''des définitions''' : au fil du temps, le thésaurus s’enrichira de définitions qui pourront être réutilisées dans les travaux de recherche, activités de communication, systèmes d’information… Les sources d’origine scientifique sont privilégiées.
'''Le thésaurus couvre l’ensemble des domaines qui recouvre le périmètre de recherches INRAE'''.
Il est organisé de manière thématique, de façon à représenter les objets de recherche et les méthodes employées à INRAE. Il est composé de 15 971 concepts, répartis dans 12 domaines et 63 microthésaurus. Le thésaurus est représenté à l’aide du '''standard SKOS''' (Simple Knowledge Organisation System) et de son extension '''SKOS-XL''' (standards W3C).
Le '''thésaurus INRAE''' est utilisé dans '''HAL-INRAE''' pour '''indexer les documents''' de manière riche avec des synonymes ainsi que des traductions en anglais. Cette indexation permet de retrouver plus efficacement les documents et peut être exploitée pour réaliser des analyses thématiques après export des notices.
Son utilisation est également recommandée dans '''Recherche Data Gouv (INRAE)''' pour les champs « Keyword » et « Topic Classification ». +
P
Le '''thésaurus PACTOLS''' (acronyme des intitulés de ses micro-thésaurus : Peuples, Anthroponymes, Chronologie, Toponymes, Oeuvres, Lieux, Sujets) est un vocabulaire contrôlé pour l'archéologie et les Sciences de l'Antiquité. Il en couvre tous les domaines et concerne le temps long, depuis la Préhistoire jusqu'à la période contemporaine.
Il est :
* Spécialisé en archéologie de la Préhistoire à l’ère industrielle et dans l’étude des civilisations de l’Antiquité
* Multilingue français, anglais, allemand, espagnol, italien, néerlandais, arabe
* Polyhiérarchique certains concepts pouvant appartenir à plusieurs domaines
* Normalisé conformément aux normes ISO (ISO2788 (1986) sur les thésaurus monolingues et ISO5964 sur les thésaurus multilingues et adapté aux nouvelles normes ISO 25964-1 et 2 sur l'interopérabilité
* Evolutif étant continuellement enrichi de nouveaux descripteurs, de notes d’application, de synonymes, d'illustrations ; sa structure en cours de consolidation pour l’ouverture sur le web sémantique
* Inter-opérable car exprimé en SKOS ; avec un identifiant pérenne ARK attribué à chaque descripteur
* Sous licence Creative Commons CC-BY-SA Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International
* Géré avec le gestionnaire Opentheso dont les API assurent l'interconnexion avec d'autres systèmes et l'export des concepts en différents formats
Son développement est assuré par un Groupe de Travail dédié au sein du GDS FRANTIQ. Son '''alimentation est collaborative et ouverte'''.
Il a été créé en 1985 pour indexer le Catalogue Collectif de Frantiq. Il sert aujourd'hui d'autres structures documentaires, notamment des Services régionaux de l'archéologie, l'Inrap. Les revues d'archéologie l'utilisent pour ajouter des métadonnées aux articles, en particulier celles qui exploitent la chaîne Métopes pour la production éditoriale XML-TEI. Des bases de données l'exploitent comme référentiel de métadonnées. +
F
Le '''télescope spatial Fermi''' est un projet international initié par la NASA auquel participent des laboratoires de recherche français, allemand, italien, japonais et suédois. L’objectif de ce télescope est de capter le '''rayonnement gamma environnant''' et ainsi de glaner de nouvelles informations sur les évènements les plus violents de l’Univers. Equipé d’un ensemble de détecteurs de sursaut gamma GBM (Gamma-ray Burst Monitor) et d’un télescope nouvelle génération LAT (Large Area Telescope), le télescope Fermi a d’ores et déjà détecté un millier de sources parmi lesquelles figurent des jets de noyaux actifs de galaxie, des pulsars jeunes et des pulsars millisecondes, des binaires gamma et des restes de supernova.
Le Large Area Telescope (LAT) est l’instrument principal sur le satellite Fermi Gamma Ray Space Telescope spacecraft. LAT est un télescope à rayons gamma couvrant une gamme en énergie allant de 20 MeV à plus de 300 GeV, complémentaire à celle de H.E.S.S. qui observe les rayons gamma au-delà de 100 GeV. Ces rayons gamma sont émis dans des phénomènes très énergétiques, par des particules ayant des vitesses proches de celle de la lumière, elles-mêmes accélérées par des mécanismes encore mal connus. Le champ de vue du LAT couvre environ 20% du ciel à chaque instant, et scrute le ciel entier toutes les trois heures. +
T
Le '''téléscope de 193 cm de l'Observatoire de Haute-Provence, T 193-OHP''', est une '''Infrastructure d'acquisition de données en astronomie & astrophysique'''.
Le '''spectrographe à échelle SOPHIE+''' (Spectrographe pour l'Observation des PHénomènes des Intérieurs stellaires et des Exoplanètes) est montée au foyer Cassegrain depuis août 2006 (cables à l'arrière du télescope) et est utilisé quotidiennement pour étudier les exoplanètes. En 2013, sa précision est améliorée pour atteindre une précision de 1-2 mètres par seconde. +
C
Le CCIAM, Centre de Calcul Intensif d’Aix-Marseille, anime le mésocentre de l’université. Il met à disposition des chercheurs des ressources pour le calcul haute performance (HPC), un accès au nœud de l’Infrastructure de Grille Européenne [https://www.egi.eu/ EGI], des ressources dans le Cloud et des espaces de stockage. Ce service fonctionne sur le principe d’un appel à projets. Le mésocentre assure des prestations de formation au calcul intensif, d’assistance à l’utilisation des ressources et des outils logiciels. Le CCIAM développe HPCboost une plate-forme multi-modalités (HPC, grille, cloud, stockage) pour les activités de simulations numériques relevant du Domaine d’Activité Stratégique régional « '''Risques, Sécurité, Sûreté''' ». Les projets utilisant ou ayant utilisé les ressources du mésocentre relèvent des disciplines suivantes : ''' biologie''', '''bioinformatique''', '''astronomie''', '''sciences de la terre''', '''sciences de l’ingénieur''', '''physique des plasmas''', '''chimie physique''', '''économie'''. +
Le CERN (European Organization for Nuclear Research) a été créé en 1954 sous l’égide de l’UNESCO. Il est situé de part et d’autre de la frontière franco-suisse, près de Genève. La France est un des pays fondateurs.
Le CERN poursuit des programmes de recherche en '''physique des particules''', en '''physique nucléaire''', en '''physique des neutrinos''' et de la '''R&D en instrumentation''' et dans '''les techniques d’accélération'''. L’objectif est de comprendre la formation et l’évolution de l’Univers.
Les expériences ont lieu auprès du '''LHC''' ('''Large Hadron Collider''') pour produire des interactions proton-proton ou ion-ion aux plus hautes énergies, d’ISOLDE pour la physique nucléaire, du décélérateur d’antiprotons pour l’étude de l’antimatière, et de la plateforme neutrinos pour les R&D des futures expérimentations dans ce domaine.
Le CERN opère des '''infrastructures de calcul''' et s’implique dans la structuration des infrastructures numériques et de '''l’Open Access''' en Europe.
'''L’accessibilité''' des tiers aux données produites par le CERN est '''restreinte''' à la politique des données des collaborations internationales. +
Le CESCO, Centre d'Écologie et des Sciences de la Conservation, développe des recherches pour la conservation de la biodiversité, en mobilisant des approches d'écologie et d'évolution, ainsi que des interfaces avec les sciences sociales (sciences politiques, sciences de gestion et psychologie).
Le laboratoire CESCO comprend deux structures de sciences participatives :
*Le [https://crbpo.mnhn.fr/ Centre de Recherche sur la Biologie des Populations d’Oiseaux], le programme CRBPO encadre le suivi national des populations d’oiseaux et de leurs migrations par les techniques de marquage (baguage ou marquage électronique).
*[[Vigie-Nature]], programme mettant en place et animant des suivis nationaux standardisés d’espèces animales et végétales communes selon des protocoles de collecte de données simples et rigoureux, à destination d’observateurs volontaires. +
Le CR2TI est une unité mixte de recherche (UMR 1064) située au CHU Nantes et à l’IRS 2. Ce laboratoire est constitué de 6 équipes indépendantes qui regroupent des scientifiques et des cliniciens aux expertises complémentaires en immunologie, transplantation, auto-immunité, maladies infectieuses, néphrologie, réanimation, biologie du développement et génomique.
Le CR2TI est constitué de 6 équipes développant des projets de recherche fondamentale, translationnelle et clinique visant à améliorer les connaissances, le diagnostic et les traitements dans le cadre de la transplantation d'organes et de cellules, des maladies inflammatoires chroniques et auto-immunes et des maladies infectieuses, via une meilleure compréhension des réponses immunitaires, le développement de nouvelles immunothérapies et méthodes de diagnostiques, et de stratégies alternatives pour le remplacement d'organes ou de tissus. +