« CSD » : différence entre les versions

175 octets enlevés ,  mercredi à 10:52
aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
(2 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 29 : Ligne 29 :
}}
}}
{{Service
{{Service
|Description=La '''Cambridge Structural Database (CSD)''' est une collection de plus de 1 000 000 de structures cristallines organiques et organométalliques de petites molécules qui peuvent être visualisées et téléchargées.
|Description=La '''Cambridge Structural Database (CSD)''' est une collection de plus de 1 000 000 de '''structures cristallines organiques et organométalliques de petites molécules qui peuvent être visualisées et téléchargées'''.


C'est à la fois un '''référentiel et une ressource validée et pérenne pour les données structurelles tridimensionnelles des molécules''' contenant généralement au moins du carbone et de l'hydrogène, y compris un large éventail de molécules organiques, métallo-organiques et organométalliques. Les entrées spécifiques sont complémentaires des autres bases de données cristallographiques telles que la Protein Data Bank (PDB), l'Inorganic Crystal Structure Database et l'International Centre for Diffraction Data. Les données, généralement obtenues par cristallographie aux rayons X et plus rarement par diffraction électronique ou neutronique, et soumises par des cristallographes et des chimistes du monde entier, sont librement accessibles (telles que déposées par les auteurs) sur l'internet via le site web de l'organisation mère de la CDD. La CDD est supervisée par une société à but non lucratif appelée Centre de données cristallographiques de Cambridge (CCDC).
 
C'est à la fois un '''référentiel et une ressource validée et pérenne pour les données structurelles tridimensionnelles des molécules''' contenant généralement au moins du carbone et de l'hydrogène, y compris un large éventail de molécules organiques, métallo-organiques et organométalliques. Les entrées spécifiques sont complémentaires des autres bases de données cristallographiques telles que la Protein Data Bank (PDB), l'Inorganic Crystal Structure Database et l'International Centre for Diffraction Data.  
 
Les données, généralement obtenues par cristallographie aux rayons X et plus rarement par diffraction électronique ou neutronique, et soumises par des cristallographes et des chimistes du monde entier, sont '''librement accessibles (telles que déposées par les auteurs) sur l'internet via le site web du CCDC'''
|Discipline=Sciences & Technologies
|Discipline=Sciences & Technologies
|SousDisciplineSciences&Technologies=PE3 Physique de la matière condensée; PE4 Chimie physique et analytique; PE5 Chimie de synthèse et matériaux
|SousDisciplineSciences&Technologies=PE3 Physique de la matière condensée; PE4 Chimie physique et analytique; PE5 Chimie de synthèse et matériaux
Ligne 41 : Ligne 44 :
CoSO;https://www.ouvrirlascience.fr/wp-content/uploads/2024/04/ListedesEntrepotsdeConfiance_v1_202403.xlsx
CoSO;https://www.ouvrirlascience.fr/wp-content/uploads/2024/04/ListedesEntrepotsdeConfiance_v1_202403.xlsx
|Cgu=https://www.ccdc.cam.ac.uk/terms-and-conditions/
|Cgu=https://www.ccdc.cam.ac.uk/terms-and-conditions/
|StatutPage=Page en construction
}}
}}