« DATA TERRA » : différence entre les versions

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*[[ForM@Ter]] :Terra solide,  
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*[[Theia]] : Surfaces continentales,
*[[Theia]] : Surfaces continentales,
*[[ECOSCOPE]] : Biodiversité
   
   
Data Terra se  positionne  sur  l’ensemble  du  cycle des  données  (mesures terrain  et  satellites)  depuis  leur  production  (en  synergie  avec  d’autres  IR  et observatoires)  jusqu’à  leur  mise  à  disposition  ainsi  que  d’alimenter  les  bases  de données  et  dispositifs  nationaux,  européens  et  internationaux  (Copernicus,GEOSS...). Au sein de l’initiative European Open Science Cloud  ([https://www.eosc-portal.eu/ EOSC]),  l’infrastructure a  été  reconnue  comme  le  partenaire français  du  projet  [http://envri.eu/envri-fair/ ENVRI-FAIR]  qui  doit  fédérer  les  systèmes d’information et de services Cloud à l’échelle de l’Union Européenne. L’infrastructure est sollicitée par deux autres initiatives européennes : INFRAEOSC (services d’accès et de traitements à la demande) et  HPC  (performance  des  systèmes  de  calcul),  à  la  fois  pour consolider  l’offre  nationale  et  européenne  en  infrastructure  de calcul mais aussi pour contribuer sur le plan de la gouvernance et des services.
Data Terra se  positionne  sur  l’ensemble  du  cycle des  données  (mesures terrain  et  satellites)  depuis  leur  production  (en  synergie  avec  d’autres  IR  et observatoires)  jusqu’à  leur  mise  à  disposition  ainsi  que  d’alimenter  les  bases  de données  et  dispositifs  nationaux,  européens  et  internationaux  (Copernicus,GEOSS...). Au sein de l’initiative European Open Science Cloud  ([https://www.eosc-portal.eu/ EOSC]),  l’infrastructure a  été  reconnue  comme  le  partenaire français  du  projet  [http://envri.eu/envri-fair/ ENVRI-FAIR]  qui  doit  fédérer  les  systèmes d’information et de services Cloud à l’échelle de l’Union Européenne. L’infrastructure est sollicitée par deux autres initiatives européennes : INFRAEOSC (services d’accès et de traitements à la demande) et  HPC  (performance  des  systèmes  de  calcul),  à  la  fois  pour consolider  l’offre  nationale  et  européenne  en  infrastructure  de calcul mais aussi pour contribuer sur le plan de la gouvernance et des services.